AUREA ♔ hasta siempre guevara

Invité

Auréa Delila
Guevara

« Mieux vaut mourir honorablement que trahir
la Famille et vivre comme un paria. »

19 ans
21 Juin 1991 à Palerme en Sicile
Italienne
We are like every body else

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Story of my life...

»

Short Story :

« La famiglia, mia figlia, che è tutto quello che, in modo da prendersene cura. »

Les dernières paroles d'un père font parties des choses qu'on n'oublie pas. Auréa était tout petite à cette époque et ne parlait pas vraiment italien, sa mère lui apprenait l'anglais car elle disait que ce serait mieux pour elle, qu'elle aurait un meilleur avenir si on ne pouvait pas la relier directement à ces hommes. Alors oui, la ressemblance était flagrante mais jamais on irait la rechercher en Bolivie. Car oui, c'est là où sa mère l'emmena, presque de force, après l'emprisonnement précipité de son père, attrapé pour trafic d'héroïne; nouvelle drogue sur le marché en pleine expansion. Auréa Delila Guevara était dès l'âge de trois ans, une petite bolivienne à la peau pâle qui ne se souvenait que d'un visage furtif dans ses souvenirs et de cette phrase; sa mère ne voulait pas donné de signification à ses souvenirs, à ses rêves et elle dût s'en contenter. Son petit monde au milieu des favelas de Bolivie lui convenait comme il était, ici, elle avait beaucoup d'amis qui avaient tous été très intrigués par cette nouvelle à la peau si peu bronzée quand le soleil ne pointait pas le bout de son nez. Un jour alors qu'elle dessinait sur le sable, elle rencontra une petite demoiselle aussi pâle qu'elle et à elles deux, elles allèrent dans cette petite clairière qui devint ensuite leur lieu de rendez-vous préféré, hors de question pour l'une d'elles de rater un de ces moments privilégies que ce soit parce qu'elles étaient souffrantes ou par temps d'averses. Ensemble, elles griffonnaient quelques paysages qui étaient dans leurs souvenirs et échangeaient ainsi ensemble leur vision du monde. Mais alors, un après-midi, plus tôt que le rendez-vous, le jour de son douzième anniversaire, Auréa fut violemment arrachée à son petit groupe d'amis à la fête foraine et entraînée de force loin d'eux, dans un van, une voiture de luxe aux yeux de la petite qui entrait dans l'adolescence mais banale pour les habitants du centre ville de la capitale. Ses yeux croisèrent alors ceux d'un homme dont les traits du visage avaient été vieilli par le temps et qui malgré cela, lui ressemblait à elle, vraiment beaucoup. Elle ignorait à cette époque aussi que ce plan d'enlèvement était organisé depuis des années, qu'elle avait été depuis des années espionnée, que son grand-père voulait qu'elle rejoigne sa Famille mais sans être cette vulgaire bolivienne des favelas vivant avec une mère plus que négligente. Ce fut la dernière fois qu'elle vit ses amis, puisqu'à partir de ce jour, elle partit pour la Sicile, sa vie changea de tout au tout, elle était entourée de servantes et d'une garde rapprochée, d'une présence paternelle fantôme tenue par son père et son grand-père, le célèbre Riina, ou comme il voulait qu'elle l'appelle padrino, qu'elle traduisit vite par parrain, un peu cliché mais tellement vrai quand on savait que la mafia était autour d'elle vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Pourtant, à la saison des amours et quand la jeune fille était jugée en âge de pouvoir prendre le flambeau d'ici peu, elle s'enticha d'un jeune homme d'une lignée voisine et pourtant ennemie; leur idylle naissante ne dura pas un mois avant que l'adolescent ne disparaisse mystérieusement. Voici à quoi ressemblait "l'amour et l'honneur de la famille" dans l'univers mafieux. Les activités illégales commises par sa Famille, elle les suivait derrière l'écran plasma du salon d'une de ses villas dans les quartiers chics de Sicile. L’inquiétude montait au rythme où s'enchainaient les procès, les traques... Un cercle sans fin dont sa prison dorée surplombant le paysage paradisiaque sicilien la protégeait. Quelque part, elle n'avait pas envie que les manifestations de colère dans les rues, les insultes crachées au visage de son aïeul, les tags de "ras le bol" sur les murs de Palerme détruisent son petit monde à l'usure.

« Nous sommes des hommes d’honneur persécutés par l’état italien »

Cette phrase rythmait sa vie depuis ses douze ans, elle se sentait forte, exceptionnelle et différente, supérieure aux autres. Mais tout bascula puisque l'année de sa majorité, la Cosa Nostra perdit son Parrain, Auréa perdit son grand-père, derrière les barreaux. Le meurtre d'un juge, le meurtre de trop. Avec les trafics s'envolait la richesse, avec les assassinats la renommée. La sage et discrète Auréa changea alors du tout au tout, déterminée à se montrer digne des Riina. Se chargeant de brouiller les pistes, elle mit le feu à la villa, sauva les comptes secrets et franchit la frontière afin d’échapper aux représailles, fuyant tout droit vers la Bolivie. Terre de refuge, elle y chercha longtemps sa mère sans jamais la trouver. Seuls d'effrayants rêves hantaient dès fois son sommeil ; elle y voyait sa mère vêtue de blanc lui tendre la main, insistant pour qu'elle la saisisse, lui promettant un monde meilleur fait de paix et de lumière. Se réveillant en sueur un matin de lourde chaleur, elle décida de goûter au rêve américain. Là, elle était certaine d'y refaire sa vie et d'oublier les cauchemars la tourmentant de plus en plus régulièrement. Avec son nom de droit, la sicilienne bénéficiait d'une vie normale telle une parfaite inconnue, à l’abri des regards tout en demeurant intouchable des autorités américaines. Convaincue dès son débarquement à New York de devoir mener une existence des plus banales, les rebondissements venus la tourmenter s'avérèrent à milles lieues de ceux escomptés. Par une nuit d'automne, la brune se rendait à son appartement en coupant par les bois. Une nouvelle lubie lui passant par la tête qui finit par la perdre au beau milieu de nulle part. Cherchant son chemin, ni les astres luisant faiblement dans la toison d'ancre ni les rares halos de rayons lunaires ne l'aidèrent. Elle se fiait au souffle de la bise fraiche la portant au grès de son envie, ignorant que deux grands yeux dorés mal avisés guettaient sournoisement sa progression. Tournant en rond sans même s'en rendre compte, elle aurait certainement été une proie facile si un miracle ne s'était produit. Une masse confondue dans les ombres des arbres roussis bondit brusquement à sa gorge quant, prise de stupeur face à la créature, une lumière éblouissante s'échappa de sa main droite pointée devant la gueule du monstre. Geste de désespoir, la vive lumière blanche, brulante et aveuglante lui donna tout son sens : elle l'avait repoussé. Touchant ses yeux, la bête tout droit sortie des contes et légendes retrouva apparence humaine, replié sur elle-même. Auréa n'en avait étonnamment plus rien à faire, le regard totalement absorbé par sa main. A la fois fascinée et effrayée par cette "chose", une nouvelle destinée s'offrait à elle en une énigme la plus inattendue : qu'était-elle ?
Vos buts & vos craintes dans la vie : - Buts: Ma seule priorité en ce moment c'est de m'imposer comme la grande héritière de Riina au sein de la mafia italo-américaine, d'ainsi reprendre le flambeau et de continuer tout ce qu'il n'avait pas terminé, et de profiter de ma notoriété pour m'allier plus facilement à ceux qui pourraient m'être utile. Avoir des relations reste important. - Craintes :Que cette fichue lumière qui jaillit de ma main ne puisse tâcher ma formidable et inachevée réputation au sein de ce que grand-père avait appelé "la Famiglia"
Vos passes-temps, loisirs, hobbies : Mes activités illégales ne peuvent bien sûr pas être dévoilées ici mais je pense que vous entendrez facilement parler de mes exploits, non que je me vante mais, sachons rester orgueilleuse quand on a un tel flambeau à tenir. A part ça, j'aime beaucoup dessiner, l'art c'était quelque chose d'inné chez moi dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence sans Livia et nos magnifiques gribouilles dans les favelas en Bolivie. Peut-on qualifier les études comme un passe temps? Hum pas sûr, passons alors. J'aime jouer au poker et au jeu de hasard, les casinos c'est mon truc, oui pas vraiment étonnant.

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I am what I am...

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En trois Mots :
° Courageuse ;; Mature ;; Futée °
° Mystérieuse ;; Imprévisible ;; Butée °

Description Physique : Comment me décrire? J'ai quasiment tout d'une italienne, la peau pâle et bronzée quand le soleil se fait sentir, une grande taille qui me permet de m'imposer plus facilement, une poitrine pas sur-développée ni in-naturelle comme celles des filles dans les magazines qui ne me complexe pas, de longs cheveux châtains qui rappelle mes origines italo-boliviennes, des yeux marrons clairs qui soulignés par un peu de fard et de mascara me donne un regard terriblement irrésistible. Mon style de vêtements reste classique bien que très classe pour ne pas oublier mes "origines", là aussi, mafieuses. Je porte de l'or mais jamais trop, ce qui pourrait être un signe distinctif donc je me passerai lors de mes... casses.
Description Morale : Ma vie dans la mafia ne me permet pas d'être une perdante, d'avoir peur et de douter. J'ai un mental de gagnante, de championne, un esprit vif et très ouvert. Je sais quelles sont et où sont mes limites. Je suis courageuse et mystérieuse car je ne peux et ne veux pas pas faire autrement. Mon côté imprévisible, futée et butée plait bien aux garçons et à moi aussi, c'est toujours assez prompt et les moments d'angoisse et de doutes sont souvent courts. Réfléchie et mature sont deux traits de caractères qui me correspondent et dont on me qualifie souvent aussi d'ailleurs.
Don Particulier ? Une lumière, comme un flash, jaillit de ma main à chaque fois que je suis en danger ou me sens menacée.

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Behind the screen...

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Célébrité louée : Troian Avery Bellisario
Est-ce un scénario ? : Oui [♦] Non []
Avez-vous un multicompte ici ? : Oui [] Non [♦]
Exemple de RP :

Spoiler:

Code du règlement : C'est gagné par Justin Very Happy

Votre prénom Ou Pseudo : Anne-Laure ♦ queen show
Votre âge : 15 ans
Que pensez-vous de Your Destiny ? : Un très joli design, frais et chaud Very Happy

Où avez-vous connu Your Destiny ? : Pur hasard, on va dire.
Fréquence de connexion : 6j/7j
Le mot de la Fin : Baby, baby, it's a wild world