© Faith |
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« Votre façon de mener le jeu ne dépend que de vous. »
25 ans le 8 novembre 1985 à Los Angeles . Américaine. We represent the law. | |
Short Story : #{ De votre naissance à ce que vous êtes maintenant;;
10 lignes minimum.}
Depuis toute petite, Ariel a vécu seulement avec sa mère, on parlait peu de son père. Elle et sa mère n'évoquait que très peu le sujet. Ariel savait juste que son père avait été un homme de passage à New York mais qu'il était décédé dans un terrible accident de la route. Elle et sa mère vivaient dans un quartier résidentiel de New York, un peu à la Desperate Housewives.. Vous savez comment sont ces quartiers, sa mère ne s'étant jamais remise de la "mort de l'amour de sa vie" enchaînait les liaisons, sans succès. Il a suffit de peu pour que la mère d'Ariel soit vite connu comme la "salope du quartier".. Sa mère n'avait donc pas beaucoup d'amis, c'est le cas de le dire.. Ariel et sa mère étaient donc habitués à passer les soirées en tête à tête. De toutes ces soirées passés ensemble, tous ces films regardés toutes les deux allongées sur le canapé partageant un gros pot de Haagens Daz, étaient né une complicité entre elles, c'était fusionnel. Mais une mère a beau donné tout son amour à sa fille, il est souvent nécessaire d'avoir une présence paternelle. Et oui, comme beaucoup de fille issu d'une famille mono-parentale, Ariel souffrait beaucoup de l'absence de son père. C'était un manque constant, sans répit. Qui est-ce qui était là pour lui apprendre à faire du vélo? Pour la consoler quand elle venait de se faire engueuler par sa mère? Malheureusement, personne. Et ce n'est pas à l'école que Ariel pu s'épanouir davantage. Areil n'avait pas beaucoup d'amis, la réputation de sa mère y jouait beaucoup. Elle n'avait pas confiance en elle, elle était ce genre de personne qui ne croit pas en elle. Et pourtant elle aurait pu.. Ariel travaillait très fort à l'école. Elle avait toujours d'excellant résultats. Oui, elle voulait rendre sa mère fière, et puis elle espérait que son père la voit de la haut* et soit fière d'elle.
C'est ainsi que l'enfance de Ariel se déroula. Et puis un jour, tout s'écroula. C'était pourtant une journée tout à fait banale, Ariel rentrait de l'école et regarda machinalement dans la boîte aux lettres sachant pertinament qu'il n'y aurait rien, sa mère rentrant le midi, aurait pris le courrier. Et ce jour-là, sa mère n'était visiblement pas rentré le midi, car 2-3 enveloppes reposaient dans la boîte aux lettres. Et parmi ces enveloppes, une lettre l'intriga, une lettre provenant de Los Angeles. Qui sa mère pouvait bien connaître la-bas? Ne pouvant s'empécher d'assouvir sa curiosité, elle décacheta l'enveloppe et découvrit un papier concernant une certaine pension alimentaire.. Qui pouvait donc donner une pension alimentaire excepté un père? Sa mère lui aurait donc menti concernant son père? Tout se chamboulait dans sa tête. Les choses furent plus clair au retour de sa mère qui devant la découverte de sa fille fut obliger de tout avouer. Mais quand on a juste 15 ans, on a pas le coeur assez grand pour y loger ce genre de chose là. C'était trop d'un coup. Son père n'était donc pas mort, mais n'avait visiblement jamais cherché à s'occuper d'elle, sa mère lui avait menti, SA MERE, elle qui était tout pour elle. Sur qui Ariel pourrait désormais compter? Elle se sentait trahit, blessé, et seule. Affreusement seule. Elle qui avait énormément besoin des autres et qui n'avait pas confiance en elle. Complétement perdu, Ariel prit la décision de continuer son cursus pendant une année, loin de New York, chez une tante éloignée, histoire de réfléchir et de se ressourcer. Cette année lui fut très bénéfique. Loin de tous, elle s'endurcie et prit du caractère. Au final, sur qui peut-on compter si votre propre mère vous trahit? Peut-être que la seule solution était de ne compter à présent que sur soi-même, prendre les décisions seuls, ne pas faire confiance et pour une fois dans sa vie, essayer de se faire confiance, et faire les choses pour elle et non plus pour les autres.
Mais après 17 ans de vie avec sa mère, elle ne pouvait pas tirer un trait dessus comme ça, elle décida de revenir chez elle à New York, mais avec une idée bien précise en tête, rencontrer enfin son père. Comme Ariel s'en doutait, sa mère essaya fortement de lui en dissuader; mais Ariel s'était bien endurcie pendant cette année, elle était devenue très tetue, et rien ne lui empécherait de partir pour Los Angeles, là où son père habitait. Elle partit donc pour Los Angeles à la rencontre de celui qui était son père. Dans l'avion, elle imagina toute sorte de situation, elle était persuadée que ça ne passerait pas très bien, mais bizarrement tout se passa très bien, leur relation fut déjà fusionnel, Ariel n'avait pas envie d'en vouloir à son père, elle avait dépasser tout ça, elle voulait juste construire une relation avec lui. Très vite, elle se sentit à l'aise à L.A, et tout se passa bien, malgrè une demi-soeur rencontrée avant son père, une petite peste, mais Ariel en fit très vite abstraction.
Cinq années passerent, Ariel n'avait aucune envie de retourner à New York, Elle s'installa avec son petit ami de l'époque, à L.A, sa mère déménaga même pour être près de sa fille. Quelques mois après leur emménagement, la relation avec son petit ami de l'époque se détériora, lui était très macho et la rabaissait sans cesse, Ariel n'avait pas besoin de tout ça, ils se séparèrent donc. Elle continuait à voir son père régulièrement, et elle se trouva une vocation pour le droit, son père lui paya donc des études de droit qu'elle réussit brillament grâce à un travail acharné, comme tous ce qu'elle avait fait auparavant. Grâce à une des meilleures notes de sa promotion, elle entra dans un cabinet d'avocat prestigieux et elle devient très vite une avocate de renon. C'était sa passion, défendre des gens, donner tout ce qu'elle avait pour réussir à gagner le procès, c'était desormais sa vie. Ariel avait pour habitude de ne jamais mélanger sa vie professionnel et sa vie privée. Elle était complètement prête à sacrifier sa vie privée au profit de sa vie profesionnelle. Après tout, si elle éprouvait plus de satisfaction à faire son métier qu'à enchaîner les relations qui n'aboutissent à rien, c'était son droit..
Et puis un jour, elle vit débarquer dans son bureau, un jeune anglais, Jude, fraîchement débarqué aux USA. Plusieurs fois amenés à travailler ensemble, elle le prit vite sous son aile, pour l'aider à s'adapter à sa nouvelle vie. Dans son for intérieur, Ariel avait du mal à l'expliquer, il y avait une alchimie entre eux qu'elle ne pouvait nier. Il y a des rencontres dont on ne veut pas mais qui pourtant sont inévitables. Et entre eux, on ne pouvait pas parler d'une simple amitié, c'était bien plus. Jude était tombé amoureux d'elle et c'était terriblement réciproque. A partir de ce jour, elle était complètement accro, et il se passait ce qu'elle redoutait depuis son enfance, dépendre de quelqu'un d'autre que d'elle-même. Deux ans de passion, deux ans merveilleux où tous les deux ils avaient vécu le paradis. Mélangeant leur travail et leur vie à côté, c'était si bon. Mais on sait tous que les contes de fée ont toujours une fin. Et un beau jour, c'était fini. Jude était repartit à Cambridge. Comme ça. Sans explication. Si ce n'est pour un soucis familial. Mais Pourquoi? C'est surement la question principale que c'est posé Ariel, et qu'elle se posera surement toujours. Tout allait si bien. C'est fou comme tout peut basculer du jour au lendemain. Ils commencaient même à parler de mariage, que penser de toutes ces promesses?. Ariel était détruite. C'était brutale, incompréhensible et tellement douloureux. On sait tous que le véritable premier amour n'aura jamais d'équivalent. Comment allait-elle faire pour surmonter tout ça? Le jour avait beau se lever, c'était la nuit, la nuit profonde pour elle. Ariel fit ce qu'elle savait faire de mieux, elle se réfugia dans le boulot. C'était comme si les mots étaient devenus trop difficile à prononcer dès qu'elle évoquait le sujet "JUDE". Elle n'avait qu'une envie, fermer les yeux, et oublier. Elle était devenu forte oui, mais pas assez. Et un jour, ce fut la fin du tunnel, la lumière qui revient. Elle découvra qu'elle était enceinte de Jude. Et cette découverte qui aurait pu l'anéantir un peu plus, lui donna une force inattendue pour se relever et se battre. Et 5 ans plus tard, elle continuait sa petite vie, mais elle n'était plus seule, et elle ne le serait jamais plus. Un petit ange nommé Katherine avait vu le jour. Bien sur, même 5 ans après, la douleur de sa rupture était toujours présente, Katherine ressemblait tellement à son père que ça faisait presque mal de la regarder en se disant que plus jamais elle ne connaîtrait ce même amour pour un homme.
Et un jour, par d'autres avocats, elle apprit que Jude était de retour en ville. Tout se chamboula dans sa tête et plusieurs sentiments vinrent se mélanger. Elle avait une terrible envie de vengeance, il l'avait tellement fait souffrir que ça paraissait même normal. Et de l'autre, il y avait Katherine. Ariel voulait le bonheur de sa fille, elle était prête à faire n'importe quoi pour ça d'ailleurs. Et elle ne voulait en aucun cas, que sa fille vive la même situation qu'elle, à savoir de grandir sans père. Pour elle, il en était hors de question. Il fallait à tout prix que Jude élève sa fille, qu'il joue son rôle de père. Elle découvra même que Jude avait refait sa vie dans avec une certaine Brooke, lui qui avait toujours été si réticent à s'engager. Elle était remontée, très remontée, et était prête à être la pire manipulatrice qui soit, fini le temps de la petite Ariel innoncente, pourvu qu'elle atteigne son objectif : récupérer Jude des bras de cette Brooke, pour qu'il s'occupe de sa fille.
Vos buts & vos craintes dans la Vie : {En
5 lignes minimum, à expliquer.}
Son but dans la vie? Réussir professionnellement c'est certain, se donner toujours corps & âme pour ses clients.
Ariel espère aussi arriver à effacer cette douleur gravé en elle, qui la rend si triste parfois. Retrouver l'Amour, être à nouveau heureuse et épanouie, en plus de sa fille qui lui procure déjà un véritable bonheur. Mener une vie heureuse en faite, que sa fille Katherine ne manque de rien, qu'elle s'épanouisse dans les meilleurs conditions qu'il soit.
Ses craintes? Comme beaucoup la mort évidemment. Et une crainte plus profonde, plus secrète, celle que sa fille un jour décide de retrouver son père, si Jude n'accepte pas de s'occuper d'elle. Ariel a tellement peur que sa propre enfance se répète.
Vos passes-temps , loisirs , hobbies :
5 lignes minimum.}
Ariel passe son temps à défendre les gens, effectuer une plaiedoirie, représenter des personnes, c'est surement une de ses passions la plus grande. On éprouve tant de joie à gagner un procès. Mais avec le temps, Ariel a appris à avoir une vie en dehors de son travail.
La danse, depuis toute petite, est toujours là, elle en pratique dès qu'elle a le temps, c'est comme une forme d'échappatoire lorsque son travail devient trop prenant, quand rien ne va plus dans sa vie, elle danse. . La danse classique requiert une forme de perfectionnisme qui convient très bien avec le caractère d'Ariel. Être parfaite et se concentrer là dessus pour oublier le reste. Entrer dans un autre monde, dans un autre univers. D'ailleurs, elle a aussi inscrite sa petite Katherine à la danse classique.
La musique aussi est un passe-temps important dans le petit monde d'Ariel. Elle berce sa vie, ses joies, ses peines, et ses désillusions. C'est la musique qui l'a aidé après sa rupture avec Jude. Entendre les mots, les sentiments qu'on arrive pas à exprimer, c'est important pour se relever.
& Dans le genre plus gai, Ariel est comme la majorité des filles, dès que le temps lui permet, elle file faire les boutiques, son métier lui permettant de gagner une belle somme d'argent, elle en profite pour gater sa fille, et elle-même en vétement. Elle aime sortir de temps en temps en boîte, aller danser avec des amies, regarder des films, beaucoup de film, tout genre du film, du grand classique aux films récents, du film profond, traitant d'un sujet important, ou délivrant un message aux films plus léger parlant d'amour.
En trois Mots :
° GENEREUSE. PERFECTIONNISTE. ATTACHANTE.
° TETUE. RANCUNIERE. MANIPULATRICE.
Description Physique : {En
5 lignes minimum.}
Ariel a tout pour elle. C'est ce genre de fille qui est naturellement belle. Sans avoir besoin de 1000 couches de maquillage. Dans son enfance, elle n'avait pas beaucoup d'amis, sans prétention bien sur
, c'était surement car elle était celle dont tous les garçons était amoureuse. Vous savez bien, mais oui j'en suis sûre, cette fille sur qui tous les regards sont posés, celle sur qui repose toutes les convoitises, sans qu'elle n'ait fait quoi ce soit. En grandissant cela n'a pas changé, elle est toujours aussi belle. Mais Ariel n'est pas le genre de fille à en profiter, bien au contraire,n'ayant jamais eu confiance en elle, elle ne s'en rend même pas compte.
Niveau vestimentaire, Ariel s'habille toujours simplement quand elle travaille, un tailleur, une petite robe, ou un pantalon et une chemise. Toujours simplement mais toujours à la mode. Ariel craque souvent pour des vétements de créateurs. Au niveau du physique, Ariel est brune avec de beaux yeux marrons clairs.
Description Morale {En
6 lignes minimum.}
Ah niveau caractère, Ariel est quelqu'un de spécial. Elle n'a jamais eu confiance en elle, elle doutait sans cesse. La confiance est surement quelque chose qui ne viendra jamais. Bien sur, aujourd'hui elle est beaucoup plus à l'aise, elle a appris à s'accepter elle-même. Certaines personnes que ce soit des amis ou des personnes de son entourage ont eu confiance en elle, lui ont fait comprendre qu'elle n'était pas une incapable et qu'elle pouvait réussir dans la vie. C'est aussi grâce à ces personnes qui ont cru en elle qu'elle en est arrivé là. Et depuis toutes ces années, il s'en est passé des choses, Ariel s'est endurci. Elle se sent desormais plus forte, son perfectionnisme peut l'amener à se montrer très manipulatrice, et hypocrite. Au fond, Ariel est une très bonne actrice. Elle peut être prête à tout pour arriver à ses fins surtout en ce qui concerne sa fille. Et enfin, Ariel a ce genre d'éloquence quand elle parle, une prestance quand elle fait ses plaidoiries, qui fait d'elle une très grande avocate.
Don Particulier ? {Facultatif pour ceux qui n'en ont pas}
Pas de don particulier pour Ariel, si ce n'est un don pour défendre les gens.
Célébrité louée : {Star figurant sur votre avatar.} Nathalie Portman
Est-ce un scénario ? : Oui [ X ] Non []
Avez-vous un multicompte ici ? : Oui [] Non [ X ]
Exemple de RP :
- Spoiler:
C'était un matin comme les autres. C'est le levé du soleil qui vint réveiller Ariel, le rideau était resté entrouvert laissant le soleil éclairer la pièce. Ariel, machinalement se tourna de l'autre côté du lit pour voir si Jude dormait encore. Depuis quelque mois, ils vivaient ensemble dans l'appartement d'Ariel. Mais ce matin, lorsqu'elle se tourna, elle ne sentit personne. C'était étrange, Jude n'avait pourtant pas de rendez-vous prévu si ces souvenirs étaient bons. Ariel se leva donc pour aller chercher Jude qui était surement dans la cuisine. Sur le chemin, elle fut surprise de ne pas trouver un jean ou une paire de chaussette sale appartenant à Jude traîner sur le sol comme il avait la désagréable manie de le faire. Oui, elle aurait du le trouver assis au bar de sa cuisine américaine, entrain de boire son café en lisant le journal. Et pourtant, ce matin là, elle ne le vit pas. Elle trouva seulement un mot. Une simple lettre, quelques mots qui annonçaient son départ. Et dès les premières lignes, ses larmes se mirent à couler. Elle comprit de suite. Elle continua et s’efforça de lire à voix haute comme pour se persuader que tout ceci était bien réel.
Je suis désolé, ma chérie, mais je dois partir. Je dois repartir à Cambridge, il s'agit de mon père, je viens d'apprende qu'il était gravement malade. Désolé de ne pas attendre ton réveil, je dois vraiment partir en urgence. Ne cherche pas à me retrouver. Je pense qu'il vaut mieux en rester là. Je vais devoir rester un bon moment à Cambridge et On sait tous que les relations par distance n'aboutisse jamais. Prends soin de toi....
Ariel n'eu pas la force de continuer. Elle s'attendait à tout sauf à ça. Sa lettre puait le mensonge. Peut-être n'était-il pas heureux avec elle? Les larmes ne s’arrêtaient pas de couler sur ses joues. Elle n'avait qu'une envie s'était de retourner au lit, et ne plus jamais en sortir. Et pourtant, elle devait aller prendre une douche et aller au tribunal pour un procès. Elle n'avait aucune envie de devoir affronter les regards des autres, qui seraient surement au courant de la fuite de Jude. L'idée de se faire passer pour malade lui traversa l'esprit, mais ses clients comptaient trop sur elle, elle ne pouvait pas faire ça. Heuresement ses vacances approchaient, et elle pourrait les passer dans son lit, à essayer de surmonter sa tristesse. Elle prit sa douche et enfila ce qui traînait sur une chaise. Elle n'avait pas la force. Elle reconnaissait le parfum de Jude dans l'odeur ambiante de la chambre, de tout l'appartement même, elle eu beau ouvrir les fenêtres pendant 20 minutes, rien n'y faisait. Il était comme gravé dans son appartement, chaque objet, chaque recoin lui rappelait Jude, et lui envoyer à la figure des tonnes de souvenirs. Oui, à ce moment là, Ariel se rendit bien compte que ces souvenirs là appartenaient désormais au passé, que le présent était désormais synonyme de tristesse et de chagrin. La brutalité de leur rupture l'a laisser tellement sans voix. Et pourtant, il fallait continuer d'avancer, la vie devait continuer. Mais pour l'instant, Ariel ne voyait pas comment. Elle était bel & bien au fond du gouffre, un gouffre si profond qu'elle n'en voyait même pas la lumière du jour. Avant de partir pour le boulot, elle glissa dans son sac, sa paire de chausson de danse, et son justaucorps noir. Après sa journée de travail, elle irait danser, c'était décidé, sans même y réfléchir à deux fois, elle n'avait juste qu'à prévenir son école de danse, qu'elle prendrait un cours particulier ce soir, comme elle le faisait depuis des années. C'était plus que vitale, il fallait qu'elle se vide la tête, qu'elle oublie, juste le temps de quelques diagonales, de quelques arabesques et d'une chorégraphie, sa rupture si brutale et si injuste. Sur ceux, elle partit de chez elle, pour une journée qui s'annonçait très longue et très dur psychologiquement.
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Que pensez-vous de Your Destiny ? : {Soyez francs, on ne se vexera pas =p . Dites-nous les points positifs et négatifs.} Très beau forum qui a vraiment bien évolué ;o) Le design est sublime, j'adhère totalement.
Où avez-vous connu Your Destiny ? : Je suis la très ancienne Penny Silverston du temps où c'était encore Paris Hilton
Fréquence de connexion : {?j/7j.} 7j/7. Mais absente une bonne partie du mois d'août.
Le mot de la Fin : : ON THE ROAD AGAIN