LE FORUM DE CYRINE, PAR CYRINE POUR CYRINE
 
CYRINE ON A DECOUVERT TON PETIT SECRET Hihihihihihi
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats •

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Karen A. Williams
❀❀❀


Karen A. Williams

Féminin
▌MESSAGES : 236
▌LOCALISATION : Manoir Williams.
▌JOB : Ecrivain.
▌JUKE-BOX : Placebo - Battle for the sun
▌AVATAR PRIS : OLIVIA WILDE

Relations & Informations
» Humeur:
VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • Left_bar_bleue20/100VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • Empty_bar_bleue  (20/100)
» Arme / Pouvoirs ::
» Your Relations:
VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • Empty
MessageSujet: VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats •   VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • EmptyVen 30 Déc 2011 - 20:54




VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • 597767VINCENTE
.


VICENTE NOHA TORRES
feat Shiloh Fernandez ♥
ÂGE ● 23 ans .
DATE DE NAISSANCE ● 12/10/1988
LIEU DE NAISSANCE ● Chilien d'origine mais né à Vegas .
EMPLOI / SITUATION ● Voleur/cambrioleur ? / C'est compliqué.
GROUPEWe got the Power

Life is a constant distraction that leaves you not even realize what she distracted.
- F. Kafka


.



      Vicente Noha Torres, chilien de père et américain de mère, naquit au cœur de la ville de tous les excès : Las Vegas. Son père, un immigré chilien fraichement débarqué aux États-Unis pour rejoindre sa concubine eut tout juste le temps d'admirer les lumières de la ville qui vit la nuit avant de se faire happer à sa nouvelle vie par les forces de l'ordre. Au fils des années, les mails, les lettres se firent rares à l'adresse de Vicente qui, avec le temps, comprit que son père avait refait sa vie.
      Resté auprès de sa mère, celle-ci se tuait aux petits boulots pour ramener plus d'argent au foyer, aussi précaire soit-il. Par amour pour son fils unique, elle avait renoncé à sa passion : la restauration d’œuvres d'art, dont elle avait fait son métier pendant une dizaine d'année. Ceci était la version officielle, la façade blanche immaculée derrière laquelle se cachait le deuxième visage de cette mère faussement modèle ; celle d'une cleptomane obstinée, attirée par les raretés exotiques hors de prix qui au lieu de lui avoir apporté la fortune, lui avaient refilé un amour déchu.
      La passion précoce du jeune homme envers l'Antiquité n'est pas anodine, puisque sa mère en ramenait de somptueuses représentations à son domicile. Même adulte, Vicente ne comprenait pas cette injustice que représentait à ses yeux l'exploitation du talent de sa mère qui donnait de ses doigts de fée une nouvelle jeunesse à maintes tableaux, statues et parchemins. Il ne pouvait accepter que ses œuvres lui soient enlevées, qu'on lui interdise de se délecter de leur contemplation. Ses études se portèrent sur l'histoire de l'art, un choix peu surprenant pour ce fils d'immigré dont le goût pour les belles choses : symboliques et riches ne cessait de s'intensifier, virant à l'obsession. Amené à voyager à travers le monde, sa mère ne pouvait plus subvenir à ses besoins, pas même les familles d’accueil l'ayant tour à tour pris en charge. Alors, pour compenser, Vicente ne revenait jamais les mains vides de ses escapades au final davantage périlleuses que culturelles. A quoi bon se réserver aux livres et atlas s'il pouvait toucher de ses propres mains l'objet de leurs articles.
      C'est dans un muséum d’Istanbul que la grâce divine le surprit. Sans s'en rendre compte, il venait de transgresser les règles, empiétant sur la ligne de sécurité. Un fil de lumière rouge vif s'alluma sous ses pieds, mais les rayons s'avérèrent indolores. Se croyant invincible, résistant à toute épreuves, Noah poursuivit son périple bien décidé à ignorer ses faiblesses. A quoi bon, puisque son don surnaturel lui permettait -même s'il ne savait comment l'expliquer- d'avoir tout ce qu'il voulait. Ses moindres caprices cédèrent à sa volonté en un claquement de doigts! Se forgeant une carapace de beaux parleur, voyeur, il parvint à mettre la foule à ses pieds, pour sa plus grande satisfaction personnelle. Aucune femme ne résistait au désir de goûter à l'aventure avec lui, aucun critique, journaliste ne résistait à l'envie de soumettre l'éloge entre leurs lignes. Même sa mère adulait ce fils prodige, ce sauveur ayant bâti pierre par pierre sa maison dorée. Seul son père répondait aux abonnés absents, une frustration pour le chilien que l’indifférence interminable d'un père fantôme poussait à l’excès. Il ne connut ni la prison ni les représailles jusqu'à l'année dernière, où il s'attaqua à un trop gros morceau, une toile grecque exposée au Metropolitan Museum of Art. In extrémiste, il parvint à déjouer les autorités, les troublant grâce à ses talents rhétoriques, trop fier pour assumer sa peur. Mais pourra-t-il continuer sa petite mascarade encore longtemps?









Art flies around truth, but with the firm determination
not to burn.

- F. Kafka

    VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • 7518731asggasgas
    icon by lj

    ALISON M. DOUGLAS Every breath you take I'll be watching you Future relation amoureuse .
    feat Mischa Barton

    La villa HILTON. La demeure la plus riche, la plus pimpante, la plus inestimable et la plus protégée de tout l'Etat. Enfin un défi à la hauteur de Vicente qui, depuis qu'il avait quitté le Manoir Williams en regrettant les merveilles d'un tel palais, en rêvait jours et nuits. Cette villa était un diamant brut, une vitrine alléchante qui entretenait son imagination, rêvant de tous les petits diamants gardés précieusement à l'intérieur. Une nuit de Galas, la fête et les tapis rouges allaient bon train tandis que dans l'ombre, sans que personne ne soupçonne sa présence, Torres improvisait sa propre petite fête. Jouissant des festivités, il fut presque déçu de se retrouver si vite en terre convoitée. Avec le précieux soutien de sa fidèle acolyte Cassandra, c'était un jeu d'enfant! Une fois seul, il se prit au jeu et, tel le maitre des lieux, entreprit une visite guidée, examinant chaque toile, chaque statue, chaque œuvre d'art de la plus loufoque à la plus discrète ; aucun recoin ne fut épargné. Les mains chargées, il était sur le point de réaliser le coup du siècle, se prêtant déjà à imaginer les entêtes de presse du lendemain, quand la lumière envahit soudainement la pièce, puis la demeure tout entière. Pris au piège, Vicente chercha à se réfugier sous l'escalier, mais un coup de feu partit, accompagné d'un cri strident de femme. La balle n'eut pas encore atteint le point d'impact qu'un second retentit avec la même intensité affolante. Plus violent, plus vif, il ne put l’évincer et se retrouva à terre, du sang sur la veste. Levant les yeux, la femme tremblait et poussait de grand gestes dans tous les sens, révolver en main. « Doucement , ce n'est pas un jouet! » L’alarme mit fin à son sarcasme, ce qui étrangement ne sembla réjouir la jeune fille. Pourquoi n'était-elle pas de sortie ? La rage au ventre, Vicente s'échappa in extrémiste, prenant soin à ne laisser aucune trace de sang sur son passage. Par chance, son don inestimable et la maladresse de la jeune femme firent que la blessure fut superficielle, assez douloureuse cependant pour que le voleur s'écroule aux portes de l’hôpital le plus proche. Il se vit fermer les yeux, puis le trou noir. Sur le point de se réveiller, il sentit quelque chose lui taper la joue et quelques cris le tirer violemment de son profond sommeil. En ouvrant les yeux, il n'eut le temps de se perdre dans l'infinie blancheur de la pièce car un visage étrangement familier lui faisait face, lui hurlant grossièrement dessus tout en le secouant avec panache! « Vous ?! » « Tu vas rendre ce que tu as volé où je te ferai passer le reste de ta vie en taule , compris ? » « Pourquoi ne pas l'avoir déjà fait si vous en mourrez d'envie ? » En réalité, placée sous la tutelle du grand patron Hilton, la pauvre fille ne donnait pas cher de sa peau si la nouvelle se rependait, ou, pire, si Evan s'en apercevait. Ses prises ! Le blessé porta naturellement ses attentions sur elles. Il eu un moment de panique puis, certain que Cassandra avait pris la relève, souffla, rassuré. Ce qui n'était pas le cas de la jeune femme. Pourtant, la situation ne déplut pas à Vicente qui, au contraire, s'en amusait beaucoup. Les jours passèrent et chacun d'entre eux, Alison cédait à son vicieux chantage. C'était donnant donnant, un bien pour un autre. Bien que guéri et sans la moindre séquelle, il ne se lassait nullement de ce nouvel amusement. La voir débarquer furieuse, suppliante parfois, avec cette même colère dans les yeux, ce même empressement avec à chaque fois l'espoir au fond des yeux que sa visite soit la dernière s'estomper dès lors qu'elle apercevait son sourire narquois le rendait plus joyeux que jamais. Un peu trop peut-être. Il n'était plus question de vengeance ni de rancœur, loin de là... Il en oubliait même que son séjour prendrait fin d'un moment à l'autre. Son stock bientôt épuisé, il devrait se rendre, et alors oublier ce joli visage qui d'après lui devait à coup sûr le détester. Il ignorait tout d'elle en dehors de son riche statut, même son nom, mais il savait qu'elle allait revenir et qu'en ouvrant les yeux le lendemain, elle serait là, habitée par la même folie irrésistible.


    VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • 129912004r9qw4
    icon by lj

    CASSANDRA P. BLACKWOOD That girl is like an hard sunburn Ex / Complice .
    feat Kristen Bell

    L’alarme se déclencha subitement, dans un élan de panique général. Les clients paniqués se ruèrent vers la sortie, encore un coup réussi! Profitant de l’inattention des gardes focalisés sur la foule, Noha pu prendre son temps pour faire les choses bien. Seul dans la salle d'exposition, son regard s'était focalisé sur une statuette bien particulière, la préférée de sa mère biologique. Jouant du don sur lequel il s'était toujours reposé depuis sa tendre enfance, sa main traversa sans le moindre mal les rayons rouges entourant le socle de l'antiquité convoitée. Son vernissage, encore scintillant, lui rappela les coups de pinceau délicats finement brossés par elle... Cet objet d'art aurait dû être sienne, elle lui appartenait de droit. Pensant gagner sa prise en un claquement de doigt, sa fierté n'était qu'un leurre. La frôlant du bout des doigts, un courant électrique le pétrifié sur place, paralysant tous ses membres. Agenouillé au sol, il ne put parler pour implorer son agresseur. Une femme, blonde, extrêmement belle, et visiblement plus forte que lui. « Bien joué , sale garce ! » Une goûte de sang s'écrasa à terre. Cassandra Phoenix Blackwood, voleuse renommée l'avait attendu lui et aucun autre une matinée entière, guettant le moindre recoin du Musée National. « Ferme-là , j'ai mieux qu'un bout de bois pour toi ! » Ses yeux bleus en amande brillaient de milles lueurs, enflammés par un feu mystérieux dont elle seule connaissait la flamme. Devenus rivaux en lisant les journaux, entre Cassandra et Vicente, c'était à celui qui récoltait le plus d’articles, commettait le plus de vol, serait le plus dangereux. Une guéguerre médiatique imperturbable, et voilà qu'en ce jour orageux, les deux descendants d'Arsen Lupin se livraient bataille face-à-face. Vicente encaissait les courants électriques déchargés par la jeune femme, les canalisant en lui pour mieux les lui renvoyer ; mais, étrangement, une fois Cassandra projetée au sol, il ne put en finir. Brûlante, la jeune femme l'attira contre elle, l'embrassant avec fougue sous le ciel orageux, leur étreinte impulsive baignée par le grondements du tonner et la danse foudroyante des éclairs. Un doux moyen usé ingénieusement par la voleuse aux nombreux charmes féminins afin de faire céder celui qui prétendait ne porter d’intérêt qu'aux choses et valeurs historiques. Le passionné s’apprêtait à offrir le plus gros et le plus beau diamant à sa belle, mais était-ce seulement pour ses beaux yeux, ou pour lui voler son plus gros coup? Un petit jeu dangereux auquel s'adonne le duo incroyable, mais qui pourrait bien les perdre à leur propre piège, terminant prisonniers de leurs propres filets.


    VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats • 145046olivia1
    icon by lj

    KAREN A. WILLIAMS Do you want to feel how it feels ? Protectrice .
    feat Olivia Wilde

    Ma route à croisé celle de Vicente une rude soirée de printemps, quand, revenant d’une chasse dans les bois voisins, l’envie me prit d’aller me réfugier dans la galerie d’Ethan non loin de là. J’espérai en réalité y entrevoir mon frère, mais ce fut une toute autre silhouette qui s’imposa à moi. Grand, bien bâti et brun, j’aurais pu me méprendre à cette fausse ressemblance, d’autant plus qu’il tenait entre ses mains gantées un de ses récents tableaux peints de ses propres mains. Innocemment, je m’avançai pour le saluer quand il commit l’erreur fatale de se retourner, lâchant précipitamment son bien à ma vue. C’est là que je compris. Si Ethan l’avait trouvé en telle posture à ma place, violant son antre et dérobant son art, je crains que le jeune imprudent ne serait déjà plus de ce monde! Bonne âme, je refusai de blâmer le voleur, au contraire, je l’entraînai dehors après avoir remis tout en place. Je lus dans son regard, par delà l’incompréhension, une extrême confusion tiraillant son âme. Je voulais comprendre, espérant naïvement que ma bonté parviendrait à le remettre dans le droit chemin ; hélas le vice ne s’en va pas si facilement, quand celui qu’il convoite s’en accommode avec autant de plaisir. Toutefois, je demeurais obstinée, allant jusqu’à l’héberger plusieurs semaines. Je me souviendrai toujours de son regard perdu dans le luxe du manoir, ne sachant plus où donner de la tête, perdu dans le somptueux décor intérieur. Il y avait là tant de belles choses susceptibles de faire son bonheur… « Si tu ne me dérobes rien, je te laisserai choisir ce que tu veux pour ton départ. » C’est ainsi que je dus me séparer de la statuette grecque antique sublimant l’arcade voûtée du salon de thé, avant qu’un nouveau rêve ne l’appelle vers une autre merveille, partant en quête d’adrénaline et de fortune. Ayant fait de lui mon petit protégé, j’avais appris à l’aimer comme le fils rebiqué, fier et -trop- passionné que je n’ai jamais eu… Mais une mère, lui en avait déjà une quelque part…



Revenir en haut Aller en bas
 

VICENTE ● The main thing is falling back on its feet , like cats •

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» ● devilishly captivating ;; juan a. morales ●
» TERESA ♫ Dancing is like dreaming with your feet
» It is better to keep a friend from falling than to help him up - Rosalie Hale
» How I hate you ● Jude

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Your Destiny  :: 
THE BEGINNING
 :: Le Grenier
-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser