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| Sujet: Nathan J. Andreis ♦ Hello Sweety ! Lun 21 Nov 2011 - 19:26 | |
| © Daysha |
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« L’art de peindre n’est que l’art d’exprimer l’invisible par le visible. » Eugène Fromentin
24 ans d'apparence, Né le 13 Avril 1862 à Londres (Angleterre) Anglais We are not from your world | |
Short Story : « Vivre, apprendre, comprendre, aimer, adorer, mourir, revivre, tomber, dans l’oublie. Tel furent les étapes de ma vie. Certaines personnes ne comprennent pas au combien le monde à changer. Elles ne comprennent comme nous vivions, au XIXème siècle, elle ne voit pas la difficulté que le monde à eu à s’adapter. J’ai connu presque tout ce que l’homme moderne connait. La révolution industrielle à la fin du XIXème siècle, la première guerre mondiale, la seconde guerre mondiale, la Guerre Froide, la Guerre du Golf, le combat contre le terrorisme, tout. J’étais partout, et je dépeignais cela grâce à mon art, la peinture. Mais pour mieux comprendre, je pense qu’il faut reprendre au début de tout, au début de ma vie, à la fin du XIXème siècle, et plus précisément le jour de ma naissance, le 13 août 1862. Evidemment, je ne m’en souviens pas, mais voilà comment on me l’a conté. « Tu es née, mais tu ne devais pas naître, tu étais un accident plus précisément l’accident auquel tes parents ne voulaient pas être confronté. Il faut que tu comprennes, m’a ton dit, il n’y a pas mille manière d’avoir un enfant, à l’époque, il était plus compliqué de l’évité que de le trouver. Ainsi, ta mère est tombé enceinte et crois moi, ça me fait du mal de te le dire, mais ce fut le plus mauvais jour de sa vie. Elle avait pleuré, beaucoup, et lorsqu’elle l’annonça à ton père, ce fut comme un choc, pour lui aussi. Ton père travaillait beaucoup, il n’avait pas vraiment le temps d’élever un enfant, et ta mère, elle, était beaucoup trop oisive pour se rendre compte de ce que c’était d’avoir un enfant. C’est pour cela que lorsque tu es née, ils ont du prendre une grande décision, soit il t’abandonnait dans un orphelinat, soit il te gardait et tu serais élevé par les bonnes, les servantes et tes professeurs. Ils avaient presque fait leur choix quand ta mère te vit, tu étais absolument superbe. Tu ressemblais à un petit ange, tu n’avais ni cheveux, ni dents, ni quoi que ce soit d’autre mais tu étais déjà sublime, le plus beau bébé qu’ils n’aient jamais vu, c’est pourquoi ils te gardèrent : tu aurais l’argent qui te permettrait de devenir quelqu’un, même s’ils ne t’élèveraient pas. Leurs intentions étaient bonnes, même si la mise en application ne fut pas si belle. » Et c’est ainsi que mon enfance fut, seule. J’avais tout, la beauté, l’argent, des amis même, mais il me manquait la seule chose dont j’avais besoin étant enfant : des parents. J’ai tous fait pour qu’ils me regardent, j’étais au top dans tout ce que je faisais, j’ai essayé de leur faire plaisir, j’ai même pendant un temps été le pire garçon que la terre est connu juste pour qu’ils me voient, pour qu’ils fassent attention à l’enfant qu’il y avait en face d’eux. Cela n’a jamais fonctionné, j’enchaînais gouvernante sur gouvernant, les renvoyant les unes après les autres, les humiliants chacune à leurs tours. Jusqu’à une femme, Amélie, elle était âgée mais elle semblait me comprendre, elle prenait soin de moi comme une mère devait le faire, elle était en quelque sorte la seule personne qui m’avait vraiment aimé pour qui j’étais. Elle remplaça mes professeurs, fit de moi un élève attentionné et cultivé, elle me montrait la grande littérature et elle m’apprit peut-être la chose qui allait guider ma vie future, la peinture. Elle me montra de grands tableaux venant de toute l’Europe, j’avais enfin une personne à qui me confier. À seize ans, j’intégrais la prestigieuse école d’art de Londres. Ce furent de très belle années, là-bas j’étais compris par les gens, tous les jeunes de mon âge vivaient comme moi, souvent incompris et renfermé dans leur monde à eux. C’est également là-bas que j’ai commencé à me faire un nom. En sortant de l’école, à vingt-et-un ans j’avais acquis une certaine notoriété, on me faisait confiance. Et tout le monde voyait en moi le futur génie de la peinture anglaise. Ma première idée fut de ne pas exposer mes œuvres dans des galeries ou des musées, non, je voulais que tout le monde puisse atteindre mon art et le comprendre, c’est ainsi que j’obtins de la ville de Londres de les faire exposer dans les rues Londoniennes pour que tous les passants puissent les admirer, les jugés et les critiquer. En 1890, les jeunes de mon âge ne pensaient qu’à deux choses : l’argent et surtout les femmes. Ce n’était pas mon cas, je ne savais regarder autre chose que l’art. Je ne pouvais m’empêcher d’admirer autre chose que des peintures, écouter des opéras et lire des romans, nouvelles, études… Les seules fois où une femme m’intéressait, c’était pour poser pour un de mes tableaux, de mes dessins. Aussi, mes parents commencèrent à s’inquiéter, car même s’il ne s’était jamais occupé de moi, ils étaient très préoccupés par la descendance, ils n’auraient su se contenter d’un fils sans avoir des petits enfants, ils voulaient que leur nom perdure. Moi, je ne voulais pas avoir de famille, j’avais encore beaucoup trop de choses à vivre. Ainsi, mes parents patientèrent. Au bout de treize longues et belles années, alors que je venais juste d’atteindre mes vingt trois ans, Amélie rendit l’âme et rejoins les cieux. C’est à ce moment-là que, dépité par la tristesse et le sentiment de solitude, je quittais ma famille pour rejoindre la France, berceau de la peinture moderne. J’en fis le tour, m’attachant à certaines belles villes, Paris évidemment. Je m’arrêtais dans les régions, dépeignaient les bassins miniers. Prenait plaisir à goûter la formidable nourriture française. Là-bas, personne ne me connaissais, là-bas j’étais libre d’être qui le voulais, je me fondais dans la masse délaissait mon allure de type chic que j’avais à Londres, allant jusqu’à me laisser pousser la barbe. À vingt-quatre ans, je retournais vers Paris pour célébrer ma vie, retrouvant ma belle allure de jeune homme. Je prenais plaisir à vivre, buvant dans les bistros et profitant de ma jeunesse, du moins, c’est ce que je pensais. Alors que j’avais passé une belle soirée avec d’autre peintre français, l’un d’eux m’invita à rejoindre ses appartements pour admirer entre autre sa galerie. Ce fut avec plaisir que j’acceptais, ne pouvant m’empêcher d’admirer l’art des autres personnes. Alors que nous étions dans une ruelle, croyant rejoindre son appartement, je sentis une douleur brulante qui se propageait dans mon coup et j’avais d’un coup l’impression d’être paralyser. Je me sentais mourir, je voyais ma vie défilé devant mes yeux, j’avais l’impression que j’étais près à rejoindre Amélie dans le royaume des anges, si j’en avais la chance. Je n’entendis que deux choses, deux explosions très fortes dont je n’ai jamais connu l’origine. Je tombais au sol, l’inconnu m’ayant lâché pour fuir. Je sentais les forces qui me quittaient et ne pouvant alerter personne, je me réfugiais dans un égout. La douleur revint de plus belle et je ne pouvais que me demander pourquoi je la ressentais, qu’est-ce que cet homme avait bien pu me faire ? Cette douleur, elle n’était pas humaine, jamais il n’avait entendu parler d’une personne ressentait une douleur aussi profonde et continu. Ainsi, à vingt-quatre ans, je devenais un vampire. Les semaines après ma transformation, je ne pouvais comprendre comme j’avais fini comme cela. À vrai dire, j’avais même du mal à comprendre ce que j’étais. Je ne comprenais plus vraiment quelle était ma vie. J’avais mal à la gorge et l’odeur du sang m’était devenue appétissante, au tout début de ma vie de Vampire, je me nourrissais de sang humain, j’en suis assez honteux. Ma soif était assez incontrôlable, mais, les vestiges de mon intelligence étaient restés et pour survivre, je vivais comme nomade, en France. J’allais dans chaque régions, où je pouvais me nourrir sans êtes aperçu, j’étais devenu rapide, fort, indestructible et précis. En revenant à Paris, je rencontrais une femme étrange, elle s’appelait Miranda et elle avait des capacités spéciale, elle était une sorcière. Elle m’apprit que je n’étais pas obligé de me nourrir de sang humain, que certains vampire arriver à vivre sang, elle avait eu vent d’un vampire Anglais, lui aussi, qui ne vivait que de sang animal. Cette idée me plaisait, je n’aimais pas tuer, et je pensais que je n’avais pas le choix. Avec son aide, je changeais de mode de vie. Je m’y faisais. Être un vampire, c’est compliqué, je me suis détesté, vraiment. Je ne pouvais supporter l’idée même de ne plus être humain. Alors, je tentais le suicide, me jetant d’une falaise, avalant du poison, essayant de me trancher les veines. Rien ne se fit, je ne pouvais pas. J’étais devenu immortel et aucune chose ne pouvait me causer la mort. En un an, j’avais plus de fois tenté de me suicider que tous les habitants français réunis en un siècle. Je remarquais également que j’étais capable d’une nouvelle chose, je ne savais pas vraiment si cela était du à ma condition de vampire mais j’arrivais à comprendre les gens, sans qu’ils me parlent, c’est très compliqué à définir car il ne s’agit pas de télépathie, non, je sais ce que les gens veulent dire, vont faire, je comprends leurs rêves, leurs ambitions et leurs cauchemars d’un simple regard. C’est une sorte de vision du futur, mais différemment, je vois quand ils me mentent, je sais quand ils vont frapper, je les comprends. Avec le temps, j’ai compris que cela ne s’appliquer pas qu’aux êtres vivants, mais également que je comprenais plus facilement les mécanismes des objets. Ainsi, je vivais comme un nomade, me promenant de pays en pays, peignant les plus beaux décors, assistant aux plus grands événements afin de les relater dans mes tableaux. J’étais là pour la première guerre mondiale, pour la seconde, lors des problèmes entre l’URSS et les U.S.A. J’étais partout, j’étais allé de l’Inde aux Mexique, en passant pas l’Italie –ou j’étais resté pendant un petit moment- et la Russie. Je connaissais le monde dans son intégralité. Ce n’est qu’au début du XXème siècle que je me suis posé, enfin, dans une petite bourgade de la péninsule d’Olympia, non loin de Seattle. Là-bas, j’ai sauvé la vie d’une jeune fille, sa voiture plongeait dans un lac non loin de l’endroit où je chassais. J’avais donc facilement plongé dans l’eau, détruit la porte et l’avais remonté avec une aisance digne d’un vampire. Elle sentait bon, réellement, son sang m’attirait comme rarement depuis bien longtemps. Pour la première fois depuis plus de cent ans, mon régime alimentaire ne me suffisait plus, j’avais envie de plus. J’avais envie de son sang, mais je m’étais jurer de me contrôler et de ne pas tuer d’humain. Alors que j’allais partir, elle prononça des mots qui me firent sursauter. Elle connaissait ma nature, elle savait que j’étais un vampire. C’était rare, à vrai dire, le seul signe distinctif apparent des vampires, c’est leur peau et leurs yeux. Les miens n’avaient même pas la même couleur puisqu’ils avaient viré à l’ambre avec le temps. Mais elle prononça clairement le mot : Vampire. Mon don m’indiqua qu’elle ne voulait pas me tuer, je voyais dans ses yeux une douceur que je n’avais que très rarement vu chez des humains. Elle n’était pas un chasseur. Nous sympathisâmes, et en quelques heures, j’appris qu’elle s’appelait Isabella – mais qu’elle préférait qu’on l’appelle – Bella. Qu’elle connaissait très bien un groupe de vampire végétarien, comme moi, elle me raconta toute son histoire, d’un certain Edward dont elle tomba amoureux, jusqu’à une Victoria en passant par un certain James et les Volturi. Cette jeune fille n’avait pas eu de chance, tombé sur un traqueur, rencontrer les Volturi, voilà qui n’était pas une parti de plaisir, même pour un vampire. Je les avais rencontré, deux fois dans mon périple en Italie, ils m’avaient dit qu’ils connaissaient quelqu’un qui avait le même régime que moi et qu’ils étaient intéressé par mon pouvoir, qu’ils voulaient que j’intègre la garde, j’avais refusé à chaque occasion. Elle n’avait pas peur des vampires, non, au contraire, elle semblait fasciné par ma race qui était – à mon goût – dégoutante. Alors qu’elle n’était qu’une simple lycéenne, elle me persuada de rester dans les environs et j’intégrais du même coup l’université locale en art plastique et dessin. Je n’avais pas grand-chose à apprendre, j’avais de grands peintre comme maître mais c’était en quelque sorte mon alibi, j’ai rencontré à plusieurs reprise les Cullen, sa famille, ils étaient sympa, j’appris que le personnage dont les Volturi m’avaient parlé était le leader du clan, Carlisle. C’était un personnage fascinant, il était beaucoup plus vieux que moi, mais lui et sa femme semblait être très paternaliste envers les gens de leur famille, très protecteurs et ils auraient tout donné même pour sauver Bella. Vers la fin de mon année d’étude, Bella m’annonça une nouvelle qui ne me fit pas plaisir, une nouvelle que j’attendais depuis longtemps car je l’avais lu dans son regard, mais j’espérais au fond de moi qu’elle le repousserait le plus, elle allait devenir un vampire. Malgré toutes mes protestations et tous les exemples que je lui avais donnés, elle refusa de m’écouter, mon unique recours fut de la menacer, si elle se transformait, je partirais, et c’est ce que je fis, malheureusement. Au moment où le venin pénétra sa chair et imbiba ses tissus, je partais pour l’Italie. Je n’ai pas rejoins à proprement dit les Volturi, je ne faisais pas parti de leur gardes, j’ai simplement rejoins Volterra où j’ai cohabité avec eux. Je n’ai tout simplement pas voulu être l’un des leurs car je comprenais à quel point il n’était pas bon pour moi de traîner avec eux. Les membres de la garde avaient un côté sadique que je n’appréciais point, qu’il s’agisse de Jane ou de son frère, en passant par Démétri et Félix, aucun d’eux ne m’inspirait confiance. Seul le respect pour cette famille me fit rester. Mais avec le temps, je compris que ma place était au près d’Isabella et que je devais retourner la revoir. Cette décision, je l’ai pris il y a quelque semaine enfaite, je dois absolument retourner la voir et je dois absolument comprendre pourquoi elle est devenue un vampire, même si je dois l’éloigner de sa famille de vampire, je dois lui faire comprendre qu’elle n’a plus toute sa raison et que je peux l’aider à la retrouver. C’est pour ça que je suis dans cet avion : elle est ma meilleure amie et j’ai besoin d’elle. » Le périple de Nathan touchait à sa fin, il arrivait près de Tree Hill. Son voyage, il le fit à côté d’un vampire, il n’en avait pas l’habitude, il lui avait conté son histoire. Il ne savait enfaite pas vraiment qui il était, peut-être était-il un sadique ou pas, en tout cas, le long périple de sa vie l’avait mené ici, vers Bella, il voulait la sauvé et il devait le faire, même si pour cela, il devrait affronter les Cullen, le plus puissant clan après les Volturi.
Vos buts & vos craintes dans la Vie : Il n'est pas aisé de me trouver un but dans la vie. Enfaite, je n’aies jamais réellement sur ce que je voulais faire. Du coup, la seule réponse acceptable serait certainement l'art, dessiner, dans un sens général, je n'ai d'autre but que de me cultiver. Je ne sais pas vraiment quoi faire d'autre. J'ai craint pendant un certain temps que Bella se transforme en Vampire, ce fut le cas, et je n'ai pu que fuir face à cette décision irresponsable. Aujourd'hui, mon unique crainte est qu'elle ne veuille pas refaire de moi son ami et que je me retrouve par la même occasion seul, dans la vie éternelle. Vos passes-temps , loisirs , hobbies : L'art est le seul moyen de laisser une trace de soi sur le monde. Le seul moyen d'être compris. Le seul moyen de se comprendre. Faire un retour sur soi nécessite une extériorisation et le meilleur moyen que j'ai trouvé est encore la peinture, le dessin, l'art pictural comme on a tendance à l'appeler. Il me permet de mieux me comprendre, de mieux me reposer. Ce "loisir" est indispensable à mon repos. L'art m'a permis de prendre du recul et de faire face à toutes mes erreurs, quelle qu'elle fut, en 150 ans, il y en a eu. L'immortalité est bien plus douce avec un crayon entre les doigts. Aujourd'hui, la peinture est, pour l'instant du moins, la seule chose qui me préserve dans cette immortalité solitaire. En trois Mots : ° Honnête ;; Sérieux;; Gentil ° ° Défaitiste sur les bords ;; Un brin Possessif ;; Solitaire °
Description Physique : Le décrire reviendrait à décrire un Apollon. Au 19ème siècle, à Londres, les bels hommes étaient fréquents. Nathan n'était pas le seul, mais vous savez, lorsqu'on change de vie et que l'on meurt, on acquière une beauté sans nom, c'est peut-être métaphorique finalement, la beauté de la mort se retranscrit sur le corps de tous les Vampires. Ses yeux sont ceux d'un végétarien, elles sont d'un ambre très beau et les quelques reflets dorée qui les parcours participent à ce spectacle étonnant, même chez les vampires. Ses cheveux sont bruns aux reflets châtain, il accompagne cela d'une coupe normal, moderne maintenant, avant-gardiste à l'époque. Bien sûr, à l'instar de chaque vampire, il brille au soleil et doit donc ce cacher au maximum. Description Morale Réfléchir, comprendre, prendre du recul. Voilà les mots d'ordre de la vie de Nathan, il est, en quelque sorte, un homme de science, mais pour les arts. Comprendre chaque trait qu'il fait, l'analyser, le reproduire à l'identique. Du perfectionnisme, voilà ce qui fait de ses œuvres des pièces si rare. Il est capable de recommencer une dizaine de fois un tableau, un croquis, un dessin pour avoir le trait parfait. Le travail en devient alors une obsession, jamais il n'abandonne un travail qu'il accomplit. Le seul temps qu'il passe à ne pas travailler, il le passe à ce cultiver, aujourd'hui. Dans le temps, il avait une amie, mais sa franchise, son honnêteté et son protectionnisme lui ont fait dire les mauvaises choses et prendre les mauvaises décision. C'est ainsi qu'il partit, perdant la femme qu'il aurait pu aimer, du moins la seule à laquelle il est pu s'attacher, d'une manière ou d'une autre. Don Particulier ? Peut comprendre les gens. Peut anticiper leurs mouvement, connait leurs rêves, leurs ambitions, leurs cauchemars. Une sorte de mentalisme mais en plus pousser... Cela s'applique également aux objets mécaniques.
Célébrité louée : Andrew Garfield Est-ce un scénario ? : Oui [X] Non [] Avez-vous un multicompte ici ? : Oui [] Non [X] Exemple de RP : - Spoiler:
Les journées passent et se ressemblent toutes, même si depuis qu'il est arrivé à Tree Hill les choses ont légèrement changer, les journées sont maintenant toute les mêmes. Yann s'était d'abord levé avec la très net envie de se recoucher. Il devait aller à la Fac pour deux cours de Musicologies et un cours de Littérature et même s'il aime ces matières tout particulièrement, il n'avait pas spécialement envie de se lever pour faire une longue journée de cours. Le côté positif, aujourd'hui il pourrait voir celle qui le tient en vie, April, une jeune vampire dont il s'est imprégné et qui lui avait permis d'oublier Anna. Maintenant, il ne vivait que pour cette fille. C'est aussi le problème de l'imprégnation, on devient littéralement dingue du sujet à l'imprégnation. Et on deviendrait exactement la personne que la femme (ou l'homme) en question veut qu'on soit. C'est pour ça que pour l'instant, même si ce n'était pas vraiment ce qu'il espérait, il se cantonnait au rôle de personne détesté mais tant qu'elle était heureuse comme ça et qu'il pouvait la voir, ça lui allait. C'est aussi un des inconvénient du phénomène de plus, depuis un moment, Julian voulait le tuer car Yann avait balancé à April le retour d'Octobre en ville. Il était obligé de le faire, il ne pouvait imaginer qu'on lui mente, c'était totalement inverse à sa manière de penser. Le seule fait qu'April sorte avec Julian le tuait et ce dernier commençait à se méfier de Yann, si seulement il se rendait compte ce que ça faisait de s'imprégner... Ce n'est pas vraiment un choix.
Yann s'était levé assez tôt, comme tout les matins, pour aller faire un tour de la forêt sous sa forme animale. Non seulement pour se défouler, mais aussi parce qu'il se sentait libre comme ça, et si en plus il n'y avait aucun Loup de transformer, comme bien souvent, il pouvait vraiment penser à rien pendant quelques minutes... Il aimait vraiment ces moments de calme, il pouvait penser à un peu tout et il pouvait aussi se demander pourquoi son père était revenue vraiment en ville. Il avait forcement quelque chose derrière la tête, il ne serait pas revenu en ville, seulement pour l'enterrement de son frère et encore plus, il ne serait pas rester si longtemps sans raison. Il se demandait vraiment pourquoi on aurait pu l'éliminer, maintenant qu'il en était presque sûr. Puis comme toujours, il retourna chez lui pour s'habiller pour la Fac, un jean, un T-shirt et une veste lui suffirait et il se dépêcha de partir. Il arriva rapidement à la Fac, il venait en voiture pour ne pas attirer les soupçons, il avait hérité d'une Jeep Wrangler qui appartenait à son père et qu'il avait laissé chez Amber et Tyler. Il n'était pas spécialement fan de cette voiture mais bon, ça lui évitait d'en acheter une. Il se gara assez loin de l'entrer pour pouvoir marcher un petit peu. Alors qu'il marchait, une voiture se gara non loin de lui et la jeune fille qui en sortit le heurta de plein fouet. Lorsqu'il vit son visage, son cœur fit approximativement trente tours et l'obstination, n'y voir rien de fou, qu'il avait pour elle se réveilla. "Eh, salut April, t'inquiéta pas, ce n'est pas grave", dit-il juste pour la calmer. Il savait qu'elle lui en voulait toujours d'être venu tout lui avouer, en même temps c'était compréhensible. "Ça va ?!? Tu vas aussi en cours sur la musique Romantique ?!?" Il cherchait à faire la conversation, tout en se dirigeant vers la foule d'élève qui rentrait par la porte principale. Il n'y avait pas beaucoup d'élève un Musicologie, en général, il n'y avait qu'une cinquantaine de personne dans l'amphi prévu pour les cours...
[Trop fainéant pour un faire un autre, j'ai pris un vieux rp que j'avais avec Yann, si ça ne vous dérange pas bien sûr] Code du règlement : Validé par Edward.
Votre prénom Ou Pseudo : Daysha Votre âge : 17 ans Que pensez-vous de Your Destiny ? : J'aime bien le concept et le design même si je trouve le trouve assez chargé... Où avez-vous connu Your Destiny ? : Je suis l'ancien Yann Lockwood, parti début d'été, j'avais dit que reviendrais, je n'ai pas menti ^^ Fréquence de connexion : {7j/7j.} Le mot de la Fin : Babah !
Dernière édition par Nathan J. Andreis le Dim 27 Nov 2011 - 18:37, édité 19 fois |
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