▌MESSAGES : 27 ▌LOCALISATION : Los Angeles ▌JOB : Etudiant en sciences politiques ▌JUKE-BOX : Framing Hanley - Lollipop ▌AVATAR PRIS : Chris Zylka
Relations & Informations » Humeur: (100/100) » Arme / Pouvoirs :: I love playing with fire » Your Relations:
Sujet: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Sam 24 Mar 2012 - 21:30
Jagger Milo Hardley
« Try not, do or do not »
ϟ STORY OF MY LIFE.
► tell us your identity
♦ Age :Vingt-deux ans♦ Date&Lieu de Naissance :Le 18 février 1990 à Miami, Floride♦ Nationalité :Américaine♦ Statut :Célibataire♦ Activité(s) Professionnelle(s) :Etudiant en sciences politiques♦ Groupe :We are not from your world
△ Vos buts & vos craintes dans la Vie : {En 5 lignes minimum, à expliquer.}
Ma plus grande crainte serait de me retrouver entièrement seul et à la rue. Du moins, pour l'instant. Quoi qu'il pourrait y avoir pire : revoir mon père. Mais cette idée-là, je l'ai oublié depuis longtemps, après tout, cela fait presque trois ans... Autrement, je n'ai peur de rien, de personne. Et sûrement pas de toi. Mon but dans la vie est très simple : repérer les êtres surnaturels pour rejoindre la cause de Talbot. Devancer un maximum de monde, me faire une place, pour ensuite faire régner ma propre loi. What did you expect ?
△ Vos passes-temps , loisirs , hobbies :5 lignes minimum.}
Faire la tourné des bars, y picoler jusqu'à plus soif, pour y ressortir dans tous mes états : je ne m'en lasse toujours pas. Chercher les ennuis, ne me déplaît pas non plus. De l'action, voilà ce que je cherche ; ce que j'ai toujours cherché. Tant qu'il y a de ça dans ma vie, je me porte bien. Même si cela implique de risquer ma vie. J'aime échafauder des plans sadiques avec mon coéquipier, Lorenzo. Et faire travailler mon imagination. J’apprécie la compagnie de jeunes dames ; l'histoire d'une nuit.
ϟ I'AM WHAT I'AM.
► we want more details
△ Description Physique : {En 5 lignes minimum.}
Grand blond, peau légèrement mâte. On dit que j'ai une gueule d'ange. Ma fois, à vous de juger. J'ai les yeux verts, assez sombres, en amande. Si je devais en croire mon père, je les auraient hérités de ma mère. Soit. Pas de quoi en faire un roman. Mon physique est ce qu'on pourrait qualifier de parfait. Je m'habille toujours très élégamment, avec toujours les deux premiers boutons de ma chemise ouverts, laissant paraître le début de mes pectoraux. Ce n'est pas pour autant que vous me verrez en costard tous les jours. Les cravates ? Très peu pour moi. En gros, je ne passe pas inaperçu. Plusieurs tatouages ornent mon bras droit. Chacun d'eux ayant une signification particulière. Quoi qu'il en soit, ne vous arrêtez pas à cette description. Mon apparence, ne reflète en aucun cas l'intégrité de ma personnalité. Loin de là.
△ Description Morale {En 6 lignes minimum.}
Je suis bien décidé à vivre ma vie comme j'en ai envie. Je laisse très rarement place à mes sentiments. Un mec qui pleure, qui se lamente sur son sort, je trouve ça faible, minable. Bref, ça me dégoûte. Et dire qu'autre fois j'étais comme ça... Quel naïf je faisais ! Heureusement, j'ai bien changé depuis. Le passé, qu'il reste où il est. Les coups bas sont devenus ma plus grande spécialité. La plupart du temps, si je traîne avec quelqu'un ce n'est pas par affection, mais par intérêt. Je ne suis pas du tout altruiste, même si j'aime le laisser paraître. Et quand je suis de mauvaise humeur, je le fais savoir. Je peux me montrer plus rapidement courtois envers les filles, tant que celles-ci ne me répugnent pas de par leur caractère.
△ Don Particulier ? {Facultatif pour ceux qui n'en ont pas}Je maîtrise pas mal de choses. Les éléments, tout particulièrement. L'eau qui séjourne dans ton corps, peut, avec moi, en ressortir promptement, ou très lentement (à voir avec mon humeur).
ϟ BEHIND THE SCREEN
♦ Votre prénom Ou pseudo :LN (logarithme népérien) mais Hélène m'ira très bien ♦ Votre Age :20 ans déjà ♦ Que pensez-vous de Your Destiny ? {Soyez francs, on ne se vexera pas =p . Dites-nous les points positifs et négatifs.} :Je n'ai pas grand chose à dire encore si ce n'est que l'ambiance me paraît très agréable et le site bien agencé. ♦ Où avez-vous connu Your Destiny ? :Pas où, mais plutôt qui ? : Emma(alias ABIGAIL I. MCALISTER)'s fault :p ♦ Fréquence de connexion ? :Cela dépend du travail que j'ai à côté, mais généralement 5j/7 ♦ Le mot de la fin :Artung ich hab' a bazooka ! A bazooka !!
► short story
△ Short Story ~ De votre naissance à ce que vous êtes maintenant :10 lignes minimum.
Je suis né un certain dimanche, 18 février, de l'année 1990, à Miami, en Floride. C'est aussi la date à laquelle ma mère,Garance Hardley, perdit la vie. Autant dire que ma vie n'a pas démarré du bon pied. Et ce n'est toujours pas sur le bon qu'elle a continué. Me voilà fils d'un riche business-man qui en a plus pour son argent que pour sa propre descendance.
Les premiers souvenirs que j'ai par rapport à mon enfance datent de quand j'avais quatre ans environ. Ces quelques bribes qu'il me reste, ces courts flashback que j'ai réussi à garder en mémoire pour je ne sais quelle raison, n'ont pourtant rien d'extraordinaires. Rappels d'une matinée comme les autres, d'une journée ennuyeuse, ou d'un anniversaire ayant mal tourné. Le dix-huit février, je le passais au-dessus du corps sans vie de Garance. Assis, sur la tombe d'une femme que je ne connaissais pas. Elle m'avait donné la vie, je lui devais bien ça. Je restais là, donc, à m'imaginer son visage, ses cheveux, son déhanché, sa voix... Mon père n'ayant jamais jugé nécessaire de me montrer l'une de ses photos, il fallait bien que je m'en fasse une idée : tantôt elle ressemblait à Marilyn Monroe, tantôt à Tiffany Amber Thiessen. Quoi qu'il en soit, elle paraissait toujours belle, souriante, pleine de vie. Plus comme maintenant.
Il y a eu quand même une période de mon passé qui ne me laissa pas indifférent et qui m'a permis de m'épanouir. Ce moment, je le dois à une personne particulière : Marie-Thérèse. Oui. C'est bien ça. Marie-Thérèse, ma gouvernante. Elle était noire de peau. Quand je la voyais, je ne cessais de me comparer à elle. Elle me fascinait. Son accent : merveilleux. Sa façon de prononcer les « r » ou plutôt de ne pas les prononcer... Naturellement, je l'imitais : « Ma'ie-Thé'èse ». Très mal ceci dit. Elle, pendant ce temps, rigolait. Et je ne tardais jamais à la suivre dans cet élan de bonne humeur. La maison habituellement si triste et sombre, était comme changée depuis son arrivée. Un jour, alors que je la cherchais pour m'aider dans ces tâches difficiles et agaçantes que sont les devoirs, je l'ai prise en flagrant délit de vol : à boire le Cognac de mon père. LE Cognac : le petit, le bon, le vieux, le cher, celui tout en haut de l'étagère. Ma'ie Thé'èse, non fière de son coup, était comme figée lorsqu'elle m'a vu entrer. Ses yeux tout écarquillés, mi marrons, mi noirs, sortaient de leurs orbites. Son sourire de tous les jours l'avait quitté un instant. Un instant seulement, car, sûrement sous l'effet de l'alcool, elle s'est remise à exprimer sa joie. Elle m'invita à la rejoindre. J'ai accepté. J'avais huit ans. Et elle m'avait appris la meilleure chose dans la vie : boire. Boire jusqu'à n'en plus pouvoir. Rire jusqu'à n'en plus guérir. J'ai dû en avaler deux petites gorgées. J'ai eu le temps de faire deux grimaces, avant de déclarer forfait. J'étais déjà saoul. On n'a pas dû faire preuve d'une très grande discrétion ce jour-là. Mon père, très vite alerté, déboula à toute vitesse. Heureusement, on avait prévu son arrivé. Tout a été rangé à temps. Mal, certes. Mais rangé. On avait cru bien faire. On pensait que tout allait passer inaperçu. Mais notre état, lui, était bien loin d'être trompeur. Avant même que mon père ait ouvert la bouche, j'ai pris la défense de Marie-Thérèse, tel un avocat. Je m'y étais cru : au tribunal. Victime : cette bonne vieille bouteille de 1952. Malheureusement, le juge n'a rien voulu savoir. Furieux, il était dans tous ses états. Aucune excuse accordée. Visage froid : sourcils froncés, lippes... il ne cessait de nous pointer du doigt. On a même eu droit à une série de grognements. À ce moment précis, je luttais pour ne pas me moquer. Renvoyée sur-le-champ ! Quant à moi, j'ai eu droit à un discours long et interminable. Palabre, que je n'ai pas daigné écouter, trop occupé par les sensations que me procurait l'alcool qui naviguait à présent dans mes veines.
Les suivantes chargées de ma surveillance étaient, quant à elles, de simples mégères, ou « harpies », moroses et acariâtres qui ne cessaient de vociférer jusqu'à en perdre la voix. À vrai dire, je ne manquais pas de leur en faire voir des vertes et des pas mûres.
Niveau qualité de vie, je ne manquais de rien. J'ai pu rentrer dans l'une des écoles les plus prestigieuses de Floride, profiter de bons nombres de privilèges... Je ne nierais pas le fait que beaucoup de personnes auraient voulu être à ma place. Qui refuserait de se faire servir comme un prince ? De disposer de tout, sans avoir jamais à quémander ? De suivre des études et réussir sans trop trimer ? Pourtant, lorsqu'on y a goûté trop longtemps, il n'y a pas de vie plus ennuyante. C'est comme un bon vin. On le savoure au début. Mais à boire trop souvent le même, on en perd la sensation de départ qui est le plaisir. On s'en lasse et petit à petit, on commence à ne plus l'aimer, voir à le détester. Quoi de plus chiatique que de devoir rester assis là, le cul sur une chaise, comme un pauvre abruti, à écouter les caquets de vieux croûtons des heures durant ???!!! Surtout qu'arrivé à l'adolescence je ne pensais qu'à rejoindre mes quelques amis qui avaient su accepter ma richesse, enflammer le dancefloor , vider le bar et m’entourer de jeunes et belles demoiselles !
Et plus les années passaient et moins cela allait. Il fallait bien que je sorte de mes gonds. Que je pète un câble. Le jour de mes 19 ans, c'était chose faite. Alors que j'avais tout prévu : soirée plus que gigantesque, alcool à foison, drogues en veux tu en voilà, musiques assourdissantes, jeunes filles en robes dentelles ; mon père, en avait décidé autrement. Il voulait que je passe mon dix-huit février en compagnie de personne que je connaissais à peine, toutes plus pitoyables les unes que les autres, pour soutenir une malheureuse association ridicule de je ne sais plus quoi (La bonne blague : il s'en foutait des associations). Un vrai lèche cul. Mais je sais que tout ceci a été organisé à la dernière minute. À croire que mon père prenait un malin plaisir à me gâcher la vie. Comme à ses habitudes. Cette fois-ci j'avais décider de lui rendre la pareille et de torcher la sienne. Moi, Jagger Milo Hardley, comme Marie-Thérèse me l'avait jadis sensément appris, en passant par chez moi, avant de me traîner à la résidence où se déroulait le gala, pris la bouteille de cognac couvée par mon père depuis des années et la vida presque d'un trait. J'en ai vidé quelques autres encore. Le peu qu'il restait, je l'ai siroté devant les invités et sans gêne, je me suis mis à insulter mon père, cet homme si précautionneux et à dévoiler l'un de ses nombreux secrets, en choisissant le plus intime :
« Je pense que vous vous faites tout un tas d'illusions vis-à-vis de mon père. Laissez-moi vous remettre les idées en place. »
Les hôtes, qui avaient pour habitude de me voir toujours sérieux et en retrait, étaient surpris de cette intervention. Je les voyais me dévisager, chuchoter entre eux « Mais qu'est ce qui lui prend, tu as vu son état ? ». Certains avaient encore un semblant de sourire sur leurs visages. Peut-être pensaient-ils que j'allais glorifier mon paternel ? Quels naïfs. Je me suis quelque peu redressé avant de continuer mon discours.
« c'est un menteur, profiteur, adepte du vice et de la luxure, une ordure, [...]. Pas besoin d'être perspicace pour comprendre qu'il vous mène en bateau afin se rapprocher au mieux de vos conquêtes. Il y prend un malin plaisir croyez-moi… Ces chères dames aussi. »
A ces mots, le visage des concernées avait tendance à virer soit au rouge, soit au blanc. Leurs maris, quant à eux, prenaient un air interrogatif et semblaient dépassés par la situation. J'ai levé ma bouteille vide et dirigé son goulot en direction de l'une d'entre elles. Je n'étais pas sûr, si c'était bien elle ou sa voisine la coupable, mais son côté apeuré, ses regards fuyants, ne m'ont pas fait hésiter plus que ça.
« Oui madame. Ne faites pas l'innocente, je vous ai vu, ce matin même, l'embrasser devant le portique. La nuit était mouvementée pas vrai ? »
Mon père qui s'était absenté jusque là, est arrivé en toute hâte, après avoir été alerté par une domestique. Juste avant qu'il ne me traîne à la cuisine, j'ai eu le temps de conclure :
« Messieurs, connaissez vous votre femme autant que lui la connaît ? »
Une fois qu'il m'avait, de force, emmené à l'écart, il s'est mis à me réprimander. Je ne l'écoutais pas. Je n'avais que faire de ses dires, de toute façon, ça n'allait rien changer. Mais quand il a commencé à mentionner ma mère, je n'ai plus pu me retenir. Ce n'était plus de la colère. C'était pire.
« Ferme-là ! »
Le cri du cœur. Cette petite phrase fut accompagnée, étrangement, d'une sorte de violente bourrasque qui dévasta tout ce qui se trouvait dans la pièce et les pièces avoisinantes. D'une énergie incomparable. Quelque chose que je ne maîtrisais pas et qui m'effrayait. C'était bien moi qui avait brisé les vitres, les verres et fait trembler la terre. La seconde d'après : silence de mort. Je n'ai pas cherché à expliquer, plus que cela, ce qui venait de se passer. Il me fallait avant toute chose partir. J'étouffais ici. Dans tous les sens du terme. En toute hâte, je me suis dirigé vers la sortie. Je suis resté quelques minutes sur le pas de la porte, à me calmer et reprendre mes esprits avant de rentrer dans mon futur ancien chez moi, récupérer le nécessaire de survit à savoir deux cartes bancaires, mon blouson en cuir noir et mon portable. Bien que je commençais à regretter ce qui venait de se passer, ma décision était prise. A présent, j'étais là : seul. Dehors. À la rue. Il faisait nuit, froid et la pluie tombait doucement. Je comptais inconsciemment chaque pas qui me séparaient un peu plus de mon habitation. Quelques souvenirs refaisaient surfaces, me rendant mélancolique. Je ne pleurais pas. Non. C'était la pluie. Pas moi. J'avais développé une sorte de tic qui faisait que je sortais toutes les deux minutes le portable de la poche de ma veste mouillée, pour regarder si je n'avais pas reçu un message ou manqué un appel. Peut-être que si quelqu'un m'avait demandé de rester... mais non. Je continuais mon chemin, à errer dans les artères de la ville. J'étais seul, ou du moins j'aurais dû l'être. Je sentais que quelqu'un me suivait. Je marmonnais « Fait pas le parano, Jagger, fait pas le parano » pour essayer de me rassurer, en vain Je regardais à plusieurs reprises derrière moi, en tentant de découvrir l'identité de celui qui était la cause de mes tourmentes. Mais il faisait bien trop sombre. La seule chose que je pouvais voir, c'était son long manteau noir qui lui arrivait aux genoux et son chapeau de mafieux. Tout ceci n'étant pas très réconfortant. Son côté louche ne faisait que prendre de l’ampleur, au même titre que mon anxiété. Il fallait que je me débarrasse de ce boulet, coûte que coûte. Après avoir quelque peu pressé le pas, je me suis mis à courir, bousculant quelques passants, frôlant quelques voitures. Je n'avais pas l'air ridicule comme ça. Surtout que comme je n'avais pas totalement décuvé, je ne courais pas droit. Il y avait un autre problème : comme je ne sortais jamais beaucoup de chez moi, je ne connaissais aucun autre moyen pour le semer que d'aller n'importe où. Il fallait bien, au vu de ma chance, que je tombe dans l'une de ces ruelles qui ne mènent à rien, soit dans un cul de sac. Rapidement, je me suis retourné : peut-être l'avais-je finalement distancé ? Définitivement non. Il était toujours là. Et cette fois, je pouvais apercevoir, en plus de son costume, son sourire de psychopathe. Il avançait. Je reculais. Et ce, jusqu'à ce que je me cogne au mur.
« Stop ! N'avancez plus ! Ou alors... »
Quelque part, j'essayais de lui faire peur, en prenant un ton un peu plus grave. « Les menaces... ça marche toujours ! ». En réalité, ma voix tremblait. Ça sonnait faux. J'étais dans un état lamentable : mes cheveux blonds étaient en désordre, limite hirsutes, mon teint blafard et mon souffle saccadé. Je ne contrôlais plus aucun de mes mouvements, c'était ridicule.
« Ou alors... ? »
Étonnamment, sa voix était calme. Trop peut-être. Il continuait à s'approcher. Son visage se découvrait au fur et à mesure. D'abord, son nez, fin et légèrement retroussé, puis son menton en galoche, son goatie et enfin ses yeux cernés dont j'avais encore du mal à discerner la couleur. À mieux regarder, il n'était pas si terrifiant. Au contraire, il était élégant et inspirait confiance. « Il ne faut pas se fier aux apparences Jagger... ». Petit à petit je prenais de l'assurance. Instinctivement, mon regard était porté sur ses parties génitales : « à trois, un coup où ça fait mal et tu fonces ». Avant que je puisse exécuter mes projets diaboliques, il continua :
« Ne t'inquiète pas, je ne te veux aucun mal. Au contraire, je suis ici pour t'aider. »
« What the fuck ?! M'aider ? M'aider à faire quoi ? Ah je vois, il me prend pour un clochard ! Si tu n'avais pas vu, Mr jesuisicipourtaider, ma veste est en cuir d'agneau. De chez Armani ! » : première idée qui m'était venue à la tête. J'ai préféré ne pas la dévoiler. Je crois avoir bien fait. Néanmoins, il avait réussi à me rassurer : je suis passé de la position recroquevillé à semi-recroquevillé. Lui, ne disait plus rien et restait là, planté à attendre ma réplique. Le temps passait ; une minute, puis deux... : le temps qu'il m'a fallu pour reprendre confiance. Enfin debout, je le fixais droit dans les yeux.
Les premières lueurs du jour apparaissaient dans le ciel encore chargé de nuage.
Je ne savais plus ce que je voulais : qu'il parte, ou qu'il reste. À vrai dire, il ne me dérangeait plus. Je m'étais habitué à sa présence. Il n'a presque pas bougé. Son sourire restait le même : toujours social. Seuls ses yeux avaient fini par quitter mon regard candide. De ce qu'il m'a raconté juste après, j'en restais pantois. Cet homme qui m'était inconnu et qui connaissait, jenesaiscomment, mon prénom, semblait lire dans mes pensées. Je plissais mes yeux et essayais de voir s'il correspondait à l'un des invités du gala. « Non. Je l'aurais remarqué » : ce n'est pas un portrait que l'on oublie. Il y avait du vrai dans ce qu'il disait, mais aussi du n'importe quoi. Selon lui, ce que j'avais fait il y à quelques heures de ça, et qui a conduit à la destruction de plusieurs cristalleries, était rien à côté de ce qu'il m'étais possible de faire. Déjà, que j'avais dû mal à croire que j'en étais l'auteur... Mais pour le reste, il avait tout juste et je ne pouvais l'infirmer. Au fur et à mesure de la discussion, j'en venais à la conclusion qu'il en savait plus sur moi que quiconque et beaucoup sur ma mère. Je me suis mis à le questionner, mais souvent, il me demandait de patienter. Ce qui m'agaçait un peu. Aussi, il m'a proposé d'aller boire un verre. Je l'ai suivi. Comment refuser une bière de bon matin ?
À me remémorer ces moments, j'en viens à me demander comment j'ai pu avoir ce genre de comportements. À présent je ne suis plus le même. Ce petit gringalet qui a peur de tout, qui ne fait attention à rien et qui agit sans un minimum de réflexion : celui là, a définitivement quitté le navire. Dieu merci. Ce changement, je le dois à Talbot alias, l'homme à la goatie. J'ai pu rencontrer des personnes aussi stupéfiantes qu'intéressantes : vampires et autres créatures surnaturelles dont je ne soupçonnais même pas l'existence. Dont Ézéchiel, un abruti sans cervelle. En intégrant l’université de New Heaven, à Los Angeles, où j'y était envoyé en reconnaissance « […] repérer les êtres surnaturels pour me les ramener et retrouver Ezéchiel », qui, entre temps s'était enfuit comme un lâche, j'ai pu faire la connaissance de Lorenzo, un mec tout à fait respectable, d'Abigail, nunuche de service et de quelques autres personnages qui me seront tous utiles un jour où l'autre.
Talbot, m'a permis de développer mes capacités, en m'enseignant les bases d'abord, puis quelques techniques plus complexes et bien plus amusantes. Me voilà devenu l'un des... non. LE plus grand sorcier de tous les temps. Et dire que tout cela a commencé par un « Ferme là ! ».
► to conclude
♦ Célébrité Louée :Chris Zylka ♦ Est-ce un scénario ? : Oui [X] Non [] ♦ Avez-vous un multicompte ici ? : Oui [] Non [X] ♦ Exemple de RP :
Spoiler:
Ses mains sont moites, ses genoux tremblent, quelques frissons traversent son corps. Elle ne se sentait pas prête à franchir la porte de l’amphithéâtre car elle savait que ce qui l'attendait à l'intérieur n'avait rien de bon. Ils devaient être environ 70 à attendre devant, agglutinés les uns les autres, tous entrain de discuter de la même chose, ressassant les mêmes mots encore et encore. Ces mots qui embrouillent les esprits, qui les font douter, les rendent moins sûrs. Quelques uns cependant, ont pour but de les rassurer : « Tu verras, tout va bien se passer ». Elle aurait bien voulu que quelqu'un vienne lui dire cette phrase. Mais elle était bien seule devant l'amphi. Elle se retrouvait dans une masse constituée de 70 personnes, mais aucune d'entre elles ne venait lui parler pour lui redonner confiance. On la bousculait de tous les cotés. Non pas par méchanceté, loin de là : ils voulaient simplement rejoindre leurs groupes, entendre leurs amis dire que tout ira bien. Elle passait inaperçue. Depuis tellement longtemps, que finalement elle a fini par s'y habituer. Elle restait là, seule donc, à attendre que les portes s'ouvrent et que sorte l'un de ses professeurs pour les y faire rentrer. Ils leurs demandaient de venir un quart-d'heures en avance, alors que finalement, eux, arrivaient toujours un quart-d'heures en retard. Ce n'était toujours pas l'heure. Elle regardait autour. Fixait une tête après l'autre. Elle les enviait quelque part. Puis, en exécutant une légère rotation vers la droite, elle aperçue ce qui semblait être le plus beau garçons de la fac. Maintenant qu'elle l'avait vu, son regard ne pouvait s'en détacher, elle n'arrivait plus à le quitter des yeux. Elle se retrouvait comme hypnotisée. Elle en oubliait même ce qui l'attendait après. Mince. Bien bâti. Taille correcte. Cheveux en bataille. Lunettes noires, accordées à son visage. Barbe de 3 jours. Chemise claire, bleue et blanche, droite, légèrement ouverte, terminée par une ceinture noire, qui quant à elle, entourait soigneusement un jeans qui mettait le reste de son corps en valeur. Veste et chaussures en cuir noir. Très classe. Mais ce qui l'attirait encore plus chez lui, c'était son sourire, son regard. Ceux d'un dieu. « reviens à la réalité ! Regarde le différemment ! Il est entouré d'au moins 40 des 70 personnes ! Ce qui veut dire qu'il est...» Populaire. Ceci veut également dire qu' « il ne prêtera jamais attention à une personne aussi invisible que moi ». Elle dévia son regard, elle regardait le sol maintenant. Et le stress l’envahissait de nouveau. Le moment était arrivé. Les portes se sont ouvertes, tout le monde cessa de discuter. Le silence pris place. Et ils pénétrèrent, un à un, dans l’amphithéâtre où les attendaient leurs copies d'examens.
Un peu moins d'un an plus tard, elle est toujours l' « oubliée » et lui le « demandé ». Elle ne le croisait plus. Elle l'avait littéralement chassé de sa vu. Pour l'oublier. Pour ne plus se faire d'illusion. Elle y était parvenue. Deuxième semestre et le voilà dans sa classe. La voilà faite comme un rat ! Il ne lui était plus possible, à présent de ne plus le voir. Il lui était impossible, maintenant, de ne pas le regarder. Ses yeux étaient encore une fois attirés. Il n'avait pas changé : il est toujours aussi beau. Elle ne le quittait plus. Elle ne pouvait plus l'oublier. Elle l'évitait donc. Parfois, il arrivait qu'il croise son regard. Elle le déviait sans attendre après avoir légèrement rougie. Quelque fois, elle en venait à l'idée que ce n'était pas lui qui croisait son regard, mais que lui, croisait le sien. Ce qui signifierait qu'il l'avait regardé avant qu'elle ne le regarde. Raisonnement impossible. Trop idéaliste. Et puis même, un regard peut vouloir tout dire comme il peut vouloir ne rien dire du tout. Le temps passe. Elle commençait à s'habituer à cette inconfortable situation. Elle arrivait à l'oublier. Encore une fois. Elle allait mieux. Le réseau social le plus populaire d'internet s'en est mêlé. Elle a reçu un message. C'était lui. Il l'invitait dans son groupe d'amis. Pour faire ça, il devait connaître donc son nom de famille. Ce qui était impossible (les profs ne faisant que très rarement l'appel) sauf s'il y aurait fait attention : autre raisonnement impossible donc. Elle lit : « Si tu te demandes pourquoi je t'ai ajouté, je ne te répondrai pas "pourquoi pas". Je trouve également que tu as l'air cool, mais tu ne parles pas beaucoup (ce qui n'est pas plus mal vu le nombre de pipelettes dans ce groupe), alors pas facile de venir taper la discussion comme ça en vrai (si, je t'assure, je suis timide). ». Elle se posa alors tout un tas de questions et une infinité d'émotions la traversa à ce moment précis. Elle lui répondit sans attendre, toute excitée. Et ils s'échangèrent rapidement quelques simples mots. Le lendemain leurs regards se sont croisés plus d'une fois. Arrivé au soir, comme il y a quelques mois de ça, ils se sont retrouvés au même endroit : devant un amphithéâtre, à attendre que les portes s'ouvrent, que le professeur vienne, pour ensuite s'asseoir devant les copies. Elle était toujours seule, et lui, toujours entouré. A la fin de l'examen, alors que lui, avait déjà rendu ses notes, elle sortit. Elle ouvrit la porte de l'amphithéâtre. Elle ne s'attendait pas à le voir là, juste devant. Elle ne s'était pas rendue compte, à cet instant, qu'il l'attendait. Elle. Alors, elle est passée, furtivement, en lui lançant un minable « salut ». Il eut droit à un vent phénoménal venant de sa part. Un vent qui lui a totalement échappé, pas du tout voulu. Elle continua son chemin, fit quelques petits pas, quand elle réalisa, une fois à l'extérieur, son erreur. Elle s'arrêta quelques secondes. Hésitante. « Dois je faire demi tour et paraître plus stupide encore ? ou continuer mon chemin ? ». Elle continua. Regretta. Et regrette toujours. Ils ne s'envoyaient plus de messages. Il était temps de se faire à l'idée qu'il ne s’intéressait plus à elle. Si on admettait qu'il s’intéressait à elle auparavant. Elle l'avait déçue. C'était certain. Elle essaya de l'oublier encore et encore. Elle finit par y arriver, tant bien que mal. Mais, après plusieurs jours, il est revenu à l'attaque :
« on révise ensemble ? »
♦ Code du règlement :Validé par Edward.
Dernière édition par Jagger M. Hardley le Lun 2 Avr 2012 - 21:00, édité 13 fois
Aurea D. Guevara ❀❀❀
▌MESSAGES : 125 ▌LOCALISATION : Le corps ici, la tête en Italie ▌JOB : Étudiante à temps partiel, Mafieuse à temps Plein ▌EN CE MOMENT : Passe du bon temps ▌JUKE-BOX : Revolution - The Beatles ▌AVATAR PRIS : Troian Bellisario
Relations & Informations » Humeur: (100/100) » Arme / Pouvoirs :: Cette lumiere... » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 0:09
Bienvenue Darling!
Gabrielle Emerson ❀❀❀
▌MESSAGES : 1563 ▌LOCALISATION : Wistéria Lane ▌JOB : Etudiante en Philosophie ▌EN CE MOMENT : Profite du bal avec Raphael ▌JUKE-BOX : Amy Macdonald -Slow It Down ▌AVATAR PRIS : Amanda Seyfried
Relations & Informations » Humeur: (30/100) » Arme / Pouvoirs :: Etre un ange ne suffit donc pas (a) » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 0:10
Bienvenue parmi nous Chris Quel bon choix (a) Amuse toi bien chez nous
Drew L. Delorme ❀❀❀
▌MESSAGES : 1253 ▌LOCALISATION : Beverly Hills ▌JOB : Héritier de la célèbre maroquinerie Delorme. ▌EN CE MOMENT : Vient de lancer la nouvelle collection printemps chez DELORME. ▌JUKE-BOX : Carly Rae Jepsen- Call Me Maybe ▌AVATAR PRIS : Tom Welling
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 0:11
Bienvenue sur YD Bonne chance pour ta fiche
Ethan A. Williams ❀❀❀
▌MESSAGES : 1322 ▌LOCALISATION : Manoir des Williams à Tree Hill ▌JOB : Artiste peintre ▌EN CE MOMENT : Essaye de changer l'avenir. ▌JUKE-BOX : Usher - Scream ▌AVATAR PRIS : Jonathan Rhys-Meyers
Relations & Informations » Humeur: (70/100) » Arme / Pouvoirs :: Contrôle sur l'esprit d'autruis » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 0:42
Bienvenue parmi nous
Sofia T. Vasquez ❀❀❀
▌MESSAGES : 142 ▌LOCALISATION : Tree Hill ▌JOB : Etudiante ▌EN CE MOMENT : S'est fait viré des Athletes et ressent un picotement à la joue ▌JUKE-BOX : Shake it out - Florence and the machines ▌AVATAR PRIS : Naya Rivera
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 8:59
Bienvenue Bonne chance pour la suite
Joanna Millers ❀❀❀
▌MESSAGES : 1056 ▌LOCALISATION : Beverly Hills ▌JOB : Mannequin à MODE ▌EN CE MOMENT : s'en fout de tout ▌JUKE-BOX : head will roll, px ▌AVATAR PRIS : Taylor Momsen
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 9:11
Bienvenue sur le forum
Maria Sanchez ❀❀❀
▌MESSAGES : 1528 ▌LOCALISATION : Neptune ▌JOB : Styliste ▌EN CE MOMENT : A peur des démons du passée ▌JUKE-BOX : Jet Lag - Simple Plan ▌AVATAR PRIS : Selena Gomez
Relations & Informations » Humeur: (100/100) » Arme / Pouvoirs :: Ma créativité » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 9:23
Bienvenue !
Jailyn Taylor ❀❀❀
▌MESSAGES : 1583 ▌LOCALISATION : Neptune. ▌JOB : Mannequin à MODE. ▌EN CE MOMENT : A de nouveau foi en l'avenir ▌JUKE-BOX : Ed Sheeran - Give Me Love ▌AVATAR PRIS : Megan Fox
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 10:07
Sois le bienvenue parmi nous
Sam Winchester ❀❀❀
▌MESSAGES : 1456 ▌LOCALISATION : Neptune ▌JOB : Chasseur ▌EN CE MOMENT : Ne sait plus quel camp choisir ▌JUKE-BOX : Colby O'Donis - Like Me ▌AVATAR PRIS : Jared Padalecki
Relations & Informations » Humeur: (20/100) » Arme / Pouvoirs :: Une arme bien chargée » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 12:28
Bienvenue Jagger Bon courage pour la suite
Andrew Taylor ❀❀❀
▌MESSAGES : 1677 ▌LOCALISATION : Villa sur Beverly Hills ▌JOB : Journaliste mondain ▌EN CE MOMENT : S'interroge et doute ▌JUKE-BOX : Outasight - Now Or Never ▌AVATAR PRIS : Chace Crawford
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 12:30
Bienvenue parmi nous
Jayson S. Hemingway ❀❀❀
▌MESSAGES : 392 ▌LOCALISATION : Neptune ▌JOB : Etudiant en astro-chimie ▌EN CE MOMENT : A rencontré Eileen. ▌JUKE-BOX : Martin Solveig - The Night Out (Madeon Remix) ▌AVATAR PRIS : Garrett Hedlund
Relations & Informations » Humeur: (30/100) » Arme / Pouvoirs :: Pouvoir de guérison & hyperkinesis (hyper grande agilité et grande précision. Il anticipe et calcule tout à l'avance. Pour lui, l'environnement est fait de chiffres et est donc compréhensible). » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 12:58
Bienvenue sur YD Bon courage pour la suite
Christopher Steadworthy ❀❀❀
▌MESSAGES : 787 ▌LOCALISATION : Tout près du manoir , terré dans les ténèbres . ▌JOB : Etudiant en sciences politiques ▌EN CE MOMENT : Monte sa révolution. ▌JUKE-BOX : Sean Paul > Touch the sky ▌AVATAR PRIS : Hunter Parrish
Relations & Informations » Humeur: (46/100) » Arme / Pouvoirs :: Capacité à communiquer en montrant des images rien que par le toucher . » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 13:06
Welcome here
Jagger M. Hardley ❀❀❀
▌MESSAGES : 27 ▌LOCALISATION : Los Angeles ▌JOB : Etudiant en sciences politiques ▌JUKE-BOX : Framing Hanley - Lollipop ▌AVATAR PRIS : Chris Zylka
Relations & Informations » Humeur: (100/100) » Arme / Pouvoirs :: I love playing with fire » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 13:10
Merciii beaucoup pour l'accueil !!!
Penny A. Silverstone ❀❀❀
▌MESSAGES : 1924 ▌LOCALISATION : Beverly Hills ▌JOB : Mannequin à Mode , chroniqueuse à Lifes et assistante du directeur de l'hôtel Hilton ▌EN CE MOMENT : Essaye de tout reprendre à zéro ▌JUKE-BOX : Madonna - Turn Up The Radio ▌AVATAR PRIS : Katie Cassidy
Relations & Informations » Humeur: (37/100) » Arme / Pouvoirs :: Mon red lipstick baby =P » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 13:14
Bienvenue parmi nous Super choix Bon courage pour la suite
Julian R. Matthews ❀❀❀
▌MESSAGES : 1381 ▌LOCALISATION : Neptune . ▌JOB : Etudiant en SES ▌EN CE MOMENT : Au chevet d'October ▌JUKE-BOX : Coldplay - Fix You ▌AVATAR PRIS : Jim Sturgess
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 14:35
Welcome on YD
Charles I. Lagerfelt ❀❀❀
▌MESSAGES : 1224 ▌LOCALISATION : Villa sur Beverly Hills. ▌JOB : Homme d'affaires et investisseur à Mode. ▌EN CE MOMENT : Troublé par ces visions. ▌JUKE-BOX : Soul Clap feat Roldy Cezaire - Let It Go (Miguel Campbell Club Mix) ▌AVATAR PRIS : Ed Westwick
Relations & Informations » Humeur: (60/100) » Arme / Pouvoirs :: Son compte en banque et son sourire » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 15:11
Bienvenue parmi nous
Ezéchiel G. St-James ❀❀❀
▌MESSAGES : 303 ▌LOCALISATION : Appartement sur Neptune ▌JOB : Etudiant en Criminologie. ▌EN CE MOMENT : Prend ses marques. ▌JUKE-BOX : Maroon 5 - Payphone ▌AVATAR PRIS : Hayden Christensen
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 16:21
N'est-ce pas là mon rival Même pas peur
Bienvenue parmi nous Jagger Bon courage pour ta fiche et surtout réserve moi un rp dès que tu seras validé J'ai hâte de te faire ta fête On ne touche pas à Elizabeth et on ne s'approche pas d'Abby sans mon autorisation, grossier disciple de mon maître Talbot
Amuse toi bien sur YD
Chelsea S. Reynolds ❀❀❀
▌MESSAGES : 972 ▌LOCALISATION : Beverly Hills ▌JOB : Etudiante en journalisme ▌EN CE MOMENT : respire la joie de vivre ! ▌JUKE-BOX : As your friend - Chris Brown ▌AVATAR PRIS : La plus jolie des petites menteuses, Lucy Hale <3
Relations & Informations » Humeur: (100/100) » Arme / Pouvoirs :: Son caractère & son sourire » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 17:15
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
Chris Anders ❀❀❀
▌MESSAGES : 1577 ▌LOCALISATION : A Beverly Hills ▌JOB : Photographe à Mode ▌EN CE MOMENT : A passé une assez bonne soirée au bal du Printemps. ▌JUKE-BOX : Kwes. - Bashful ▌AVATAR PRIS : Chris Evans
Relations & Informations » Humeur: (40/100) » Arme / Pouvoirs :: Son appareil photo » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 17:23
Bienvenue parmi nous Bonne chance pour la suite
Aleksandr Y. Petrov ❀❀❀
▌MESSAGES : 775 ▌LOCALISATION : Neptune ▌JOB : Etudiant en médecine ▌EN CE MOMENT : Combat aux côtés de ses confrères et consoeurs contre l'arrivée du Mal sur Terre. ▌JUKE-BOX : Scott Weiland - Breath ▌AVATAR PRIS : Aaron Johnson
Relations & Informations » Humeur: (20/100) » Arme / Pouvoirs :: Une arme bien chargée ! » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 17:27
Bienvenue et amuse toi bien parmi nous
Jude J. Kennedy ❀❀❀
▌MESSAGES : 1335 ▌LOCALISATION : Beverly Hills ▌JOB : Avocat ▌EN CE MOMENT : En mauvaise posture. ▌JUKE-BOX : Calvin Harris - let's go feat Ne-Yo ▌AVATAR PRIS : Jude Law
Relations & Informations » Humeur: (50/100) » Arme / Pouvoirs :: Le pouvoir de te mettre en prison . » Your Relations:
Sujet: Re: Jagger M. Hardley • Never tell everything you know. Dim 25 Mar 2012 - 17:50
Welcome here
Dantes Taylor ❀❀❀
▌MESSAGES : 1686 ▌LOCALISATION : Quelque part en Enfers ▌EN CE MOMENT : Aimerait croire aux chimères de l'avenir. ▌JUKE-BOX : Felipe Mulero - Children (remix) ▌AVATAR PRIS : Jared Leto