Nothing but heaven itself is better than a friend who's really a friend
-Plautus-

L’amour, l’amitié, le travail, la vie ; plus rien ne m’importait ! Ce depuis que ma raison ne faisait plus qu’un avec cette alliance déroutée d’alcool et de connerie. Je ne pleurais plus. Je riais de tout et de rien. Tout me paraissait dérisoire, banal, limite ridicule. Une étrange sensation qui, malgré ses touches captivantes, ne m’apaisant nullement mes tracas. Fuir mes problèmes, un futur incertain, en sombrant dans le délire ne m’arrangeait plus ; plus comme auparavant. L’indifférence fut ma complice des années lycée. Une copine que je n’espérais plus recroiser et pourtant, je faisais tout pour la retrouver. Après ce qui s’était passé hier à la Cita Bar et le petit arrêt au poste de police, je me suis retrouver poster devant cette réalité qui, tantôt me projettera dans un dédale tortueux et sans fin. L’avenir qui m’a été donné de voir ne me semblait plus qu’un plaisant euphémisme apportant à une future réalité, dur d’imaginer ! Du coup, tout m’était devenue plus clair et la logique que j’ai cru avoir perdu le long du chemin, avait reprit et de pied ferme, ses droit sur mon esprit, encore confus. Si je comptais échapper à la tragédie de mon futur, je devrais m’y mettre dès maintenant, sans que Drew ne s’y implique dedans. Il n’y était pour rien lui dans toute cette histoire d’alcool, de drogue et de trahison. Il ne pouvait emprunter ces valeurs miteuses si quelqu’un, moi éventuellement, ne les inculque pas. Donc, tant que je ne change pas, ma présence dans sa vie et au lieu de faire son bonheur, en fera son malheur !

Après une longue conversation avec Drew, je quittais la maroquinerie afin de regagner ma voiture, prenant, cette fois-ci, non pas la direction des bars malencontreux, mais celle de mon logis chaleureux. L’esprit moins tourmenté et le sang plus ou moins clean, je retrouvais enfin ma lucidité. Accrochant mon kit aux oreilles, j’appelais Chris en premier. Je lui devais des excuses tout comme au reste du monde. Mon nouveau mode de vie m’avait rendu odieuse, détestable et antipathique ; tout l’opposé de ma vraie personnalité. Maintenant que mon esprit s’était éclairci, j’étais déterminée à présenter mes excuses aux gens qui comptaient énormément à mes yeux ; notamment Chris, Maria, David, Evan, Brooke, Naomi et tout au reste de cette bande à laquelle je vouais du respect et bien plus. Chris, aimable comme toujours, il accepta de bon cœur mes excuses, m’invitant par la suite à parler et rattraper le temps perdu. Une fois notre prochain rendez-vous fixé, je raccrochais avant de me garer devant mon adresse. Fermant la portière, je me hâtais à franchir la porte de ma résidence. Posant mon sac et mon manteau près de l’entrée, je pris la direction de la cuisine, enlevant mes talons au passage. Mon HTC à la main, je tapotais rapidement le numéro de ma meilleure amie ; Maria. Après quelques beep, sa voix eurythmique vint retentir, telle une douce berceuse, dans mon oreille…

-« Maria, bonsoir ! » Commençai-je, la honte me dévorant la voix.-« écoute, je tiens sincèrement à m’excuser pour cette attitude puérile dont j’ai fais preuve ces derniers temps…tout a commencé par un rêve…ou plutôt un cauchemar et depuis les choses ont dérapé…mais ça va beaucoup mieux maintenant.»

Ces derniers temps, le système perpétuellement bourré d’alcool, je me suis montrée d’une insouciance solennelle. Immature et complètement irresponsable, j’avais donné une image toute nouvelle de ma personne. But now, everything’s about to change…Regardant autour de moi, je repérais une myriade de bouteilles d’alcool, éparpillées partout dans la pièce. Prenant un grand sac de plastique et après un long moment d’hésitation, j’en mettais le tout dedans, annonçant ainsi le début d’une nouvelle ère ; une nouvelle moi, encore plus posée que celle que j’ai été. Sans Drew, mon chemin vers la conversion connaitra et sans le moindre doute, des hauts imposants ainsi que des bas grandioses. Mais sa débouchée attrayante, en valait largement la chandelle !

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-Plautus-

Vidant ma cuisine de toute sorte d’alcool, je sentis une part de moi s’agiter comme pour protester contre mes nouveaux jugements, mais encore déterminée à retrouver le bon chemin, celui de la délivrance et de la paix interne, je finis donc volontairement par la tasser sous un amas d’audace et de volonté . Mon faible voire mon addiction pour ce nectar diabolique m’avait causé bien plus de mal que de bien. Je n’en voulais plus et j’espérais ne plus jamais y sombrer. Mon rétablissement me prendra du temps, de la patience et beaucoup de détermination et le long du trajet, j’aurais besoin d’aide parce que je ne peux, hélas, y arriver toute seule et selon les dernières nouvelles : Je n’étais pas seule. Maria, Chris et tant d’autres étaient et seront toujours là pour moi, Drew aussi. Même si nous étions plus ensemble, je savais que si j’aurais besoin de son aide, il ne me laissera pas tomber. L’appareil à l’oreille, je l’entendis prononcer mon prénom avec son enthousiasme naturel suite auquel je n’en pu réprimer mon sourire. Savoir que j’étais toute pardonnais, du moins de sa part, m’apaisait un peu l’esprit. –« Alors tu me pardonnes comme ça ? Sans me gueuler dessus ni rien ? Non mais t’es formidable toi et puis je n’avais même pas besoin de faire recours à mon fameux "puppy eyes" pour me faire pardonner. C’est que j’ai beaucoup de chance moi... » déclarai-je.-« Tu as déjà trop fait pour moi et puis juste ta présence dans ma vie me suffit, je ne cesserai jamais de te le répéter ni de t'en remercier. » Dis-je, sincère.-«Oui, t'inquiètes pas trop pour moi, je vais mieux, je te l'assure.» L'assurais-je du mieux que je pouvais-« Ta meilleure amie est à l’écoute maintenant. Raconte-moi tout. Je veux tout savoir et avec les détails si possible. » Dis-je dans un sourire. Mettant la dernière bouteille de vodka dans le sac de plastic, j’enfonçais le tout dans la poubelle avant d’aller m’affaler dans le canapé, attendant impatiemment d’entendre ce que Maria avait à me dire.

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-Plautus-

Impatiente, je tentais de rester calme alors qu’elle me fit languir. Qu’avait-elle à me dire ? Ma curiosité prenait de l’ampleur alors que je m’allongeais lourdement sur le canapé. En me confirmant ma chance de l’avoir à mes cotés, un léger sourire ravi s’étendit sur mes lèvres, récemment oppressées d’une morosité nouvelle. Sa bonne humeur avait toujours eu cet agréable don d’illuminer mon cœur, d’un brin de sa joie d’antan ; un bonheur que j’avais perdu sur le chemin du retour, au détour de l'une de ces ruelles éplorées de la cité américaine. Mes yeux caressants la peau blanchâtre du plafond, j’identifiais un certain point d’inflexion entre la voix douce et sucrée de mon amie et cette grave tonalité qui prenait discrètement possession de ses paroles, échafaudant à peine la voie à un discours aux enjolivures plutôt sérieuses. Attentive, je demeurais muette. Un silence glacial que je ne scindais que pour signer notre pacte. –« Vas-y, raconte. Je te promets de rester calme ! » M’exprimai-je fugace, rendant rapidement la balle dans son camp. Dans un élan nostalgique, elle revenait quelque peu en arrière, à une époque passée. Un temps mémorable où son cœur frêle avait rencontré un amour sincère. Une période de pur bonheur qu’elle avait pu partager avec Josh. Josh Bryan Silverstone, le charmant frère de Penny. Le connaissais-je ? Of course i do, très bien même. Une information que je jugeais futile en ce moment, surtout que sa voix devenant émotionnelle d’un coup n’annonçait rien de bien. Son conte de fées n’avait certainement pas prit le bon tournent. Elle me parlera probablement d’une tragédie ; un horrible drame. Je le sentais arrivé et j’en avais le cœur noué rien qu’en y pensant. Le flot de ses mots se figea brusquement et un calme inquiétant s’installa à l’autre bout du fil. S’apprêtait-elle à reformuler le fond de ses pensées? Je ne disais rien même si l’attente me semblait cruelle et éternelle. Quelques secondes plus tard, la deuxième partie de l’histoire vint me taper brutalement sur le cœur. Ma surprise fut énorme quand elle me confia qu’à l'époque, elle et Josh avaient eus un enfant. Une histoire dont je prenais connaissance pour la première fois. D’un bond, je quittais le canapé, sans un mot. Ses paroles s’enchainèrent et je finis par apprendre que les parents de Josh l’ont forcé à abandonner son bébé et non seulement ça, ils ont même réussis à la séparer de Josh. le pire dans l'histoire fut que ses parents, les deux personnes qui devaient naturellement prendre sa défense, ont formés une sorte de ligue avec ceux de Josh, abandonnant ainsi toute volonté d’arrêter le cataclysme incontournable qui ravageait cruellement le cœur de leur fille. Bande de crétins ! Elle me fit ensuite part du secret de son succès dans le monde des glamours ; Sa passion pour le stylisme n’avait vu le jour qu’après le tsunami de chagrin qu’elle avait survécu. À croire que toutes les stylistes de Mode, celles baignant dans l'argent et le succès, dissimulées derrière leurs sourires radieux une montagne de secrets, des histoires anciennes les unes plus douloureuses que les autres ! Pour terminer sa confession, elle me disait qu'il y a de ça quelques semaines, elle avait recroisé son ancien amour; Josh. Était-ce une bonne ou mauvaise chose ? -« Maria…Je ne sais pas quoi te dire. Ce que tu as vécu… il t’a certainement rendue plus forte parce que regarde-toi. Déterminée, talentueuse et toujours souriante… Même après tout le mal qu’on t’a fait. Je ne sais plus que dire de plus devant tant de courage et de volonté. » Soupirant, je tentais de reprendre mon souffle. À vrai dire, je ne comprendrais jamais cette vie à toujours vouloir tester les gens bien, alors qu’elle donne libre cours à la cruauté des mauvais.-« Tu ne mérites pas ce qui t’es arrivée et ça me désole énormément de savoir que toi non plus, tu n’avais pas eu droit à une adolescence plus ou moins ordinaire…ça serait facile de blâmer tes parents, les parents de Josh et détester le reste du monde, mais ça n’arrangera en rien la situation, encore moins cette douleur permanente qui te ronge le cœur et ça tu le sais bien plus que moi ! Mais dis-moi, n’as-tu jamais pensé à quoi pourrait ressembler ton enfant? N’auras-tu pas envie de le retrouver ? » Dis-je en toisant très bien mes mots. Elle souffrait et le seul moyen qui me paraissait en mesure d’atténuer son malheur, c’était celui de retrouver sa fille. C’était peut être ça le remède à cette douleur dévastatrice qu’elle ressentait depuis qu’elle avait abandonné l’une des plus précieuses parties de son âme. Je la comprenais. Je n’avais pas eu la chance de voir mon bébé, vu que la destinée, dépourvue de toute bonté, n'avait pas octroyer à ses prunelles la possibilité de cajoler la lumière du jour, mais juste les quelques semaines que j’avais passé en sa compagnie, la chaleur de son souffle battant dans mes entrailles, m’avait rendu sa perte, l’une des plus difficiles à endurer; un chagrin qui persistera certainement jusqu’à la fin de mon existence.-« As-tu relancé ce sujet avec Josh ? Crois-tu que revoir sa fille l’enchanterait ? » Demandai-je, doutant un peu la réponse. Mais le connaissant, je savais que si, à l’époque, la décision de garder le bébé lui revenait, il ne l’aurait pas abandonné. Il n’était pas un lâche, loin de là.

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D’une voix agitée, scindée d’un afflux d’émotions, Maria me dessina bravement la toile de son passé. Son croquis exhiba clairement sa douleur persistante. Une malheureuse mésaventure, pour le moins pénible. Silencieuse, je l’écoutais, un nœud dans le cœur. Elle me demanda si je la comprenais. Ô combien je la comprenais ! Je soupirai en guise de réponse tandis que ma meilleure amie continua de me crayonner son portrait d’antan. Ma Maria. Ma pauvre Maria. Elle avait enduré le pire drame qu’il puisse exister. Ne pas avoir le choix de garder son propre enfant, ce n’était pas juste unfair, mais une décision inspirant à une cruauté qui, m’était complètement absurde ! D’une part, je comprenais le raisonnement de ses parents. Ils ne désiraient en aucun cas que leur petite fille gâche son présent et ce qui reste de son avenir pour une histoire d’adolescence. Mais au lieu d’analyser la situation à deux, Ils auraient dû prendre, en considération, l’avis de leur fille. Ils auraient dû la soutenir dans ses choix, au lieu de la détruire émotionnellement, la laissant pleurer à jamais, le chagrin d’un passé qui sera toujours gravé dans son cœur. Elles leur en voulaient toujours. Une haine qui ne se dissipera pas avec le temps, bien au contraire. Bande d’égoïstes, qu’ils aillent pourrir loin d’elle, vraiment aucune empathie pour eux. Maria me confia ensuite qu’avec Josh, ils ont décidés de chercher leur fille. Une nouvelle qui colora mes lèvres d’un sourire plein d’espoir. Josh fut le promoteur de cette agréable idée. Un fait qui ne me surprenait point ! Maria encore confuse, elle ne savait pas vraiment si revoir sa fille serait une bonne ou mauvaise chose. Mon avis semblait donc lui être indispensable. –« Je crois que juste le fait de savoir qu’elle va bien, apaisera un petit peu ton chagrin…Non ? » Dis-je en me rendant compte de la complexité de la situation.-« Et puis après tu peux discuter avec ses « parents » et voir s’ils peuvent vous laisser la voir de temps en temps ou même vous accordez la permission de passer une journée par semaine ou par mois avec elle ? Tout ce que je sais, c’est que tu dois la retrouver. La revoir te fera le plus grand bien, crois-moi ! Tu hésites maintenant parce que t’as peur de l’inconnu, mais une fois que tu la reverras, tu te sentiras beaucoup mieux. » La rassurai-je du mieux que je pouvais et ce, dans l’espoir d’étouffer son hésitation, une fois pour toutes.

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Une rencontre fortuite se révélait être le déclencheur principal d’un tas de souvenirs qui, depuis peu, obnubilaient l’esprit de mon amie. Sa pensée s’était retrouvée en proie à des doutes bouleversants et depuis sa dernière entrevue avec Josh, Une nouvelle réalité semble avoir surplombé son univers. Elle se retrouvait désormais confronter à une vérité contre laquelle elle ne pouvait plus lutter. Sa fille, une partie d’elle ; de sa jeunesse gâchée. L’envie de la revoir lui dévorait le cœur. Elle souhaitait la retrouver mais les éventuelles conséquences de cet acte l’apeuraient. Face à la délicatesse de la situation, Maria ne savait plus où donner de la tête et afin de récupérer une miette de son aplomb, elle sollicita mon avis. Que devrais-je lui dire pour la rassurer ? Me réinstallant sur le sofa, je longeais les abords de la pièce d’un regard distrait avant de reprendre la parole. Elle ne devait plus attendre. Elle avait déjà perdu trop de temps à faire semblant que la douleur de son passé ne fut qu’illusion. Il était donc temps pour elle d’arrêter de fuir ses peurs. Elle est en était capable. Elle voulait savoir ce que j’aurais fait à sa place, mais au lieu, je lui disais ce qu’une personne dotée de sa vaillance devrait faire. Retrouver son enfant aux bras de sa mère adoptive, lui infligera de la peine, du regret même, mais savoir qu’il mène une vie appréciable lui octroiera probablement la possibilité d’avancer vers de nouveaux horizons, de bâtir son futur sans que son passé lui ralentisse, une nouvelle fois, la marche. Appréciant mon opinion, Maria me fit ensuite remarquer qu’elle n’avait même pas 20 ans et qu’elle devait endurer une pile de malheur qui la dépassait en large et en travers. –« Que veux-tu que je te dise. Life’s a bitch! » Dis-je, l’ironie masquant légèrement mon mécontentement face à la situation actuelle. –« Maria écoute, si tu fais vraiment confiance à Dustin et si tu ne peux rien lui cacher, ne te gêne surtout pas ! Mais s’il t’a pas encore prouvé qu’il mérite ta confiance, ne lui dis rien. Faut mieux garder un low profile pour le moment, parce que comme tu l’as dit, nous vivons dans un monde de fous et tu ne veux certainement pas que ton histoire fasse le scoop de l’année ! Figurer dans le tableau de chasse des paparazzis ne compliquera que davantage ta mission. »Expliquai-je, maitrisant pertinemment mes propos.-« Pour la collecte des informations et tout ce qui peut te mettre en proie aux médias, je peux bien m’en occuper. Comme ça, si jamais ils arrivent à repérer le fil de l’histoire, ils me retrouveront à son bout et c’est ainsi qu’ils tomberont dans le piège...Donc au lieu de quêter la vérité, ils seront très occupés à peaufiner leur histoire fictive !» Il y avait encore pas mal de détails que nous devrions prendre en considération si on voulait accomplir notre tâche en toute discrétion.-« Demain après le boulot et si t’as pas d'empêchement, on passerait voir Josh pour tout discuter en détail. Qu’en dis-tu ? » Demandai-je l’incitant en quelque sorte à faire le premier pas ; un brave geste qui lui rouvrira peut être cette porte enchantée du bonheur.

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-Plautus-

Dustin. Je le connaissais, mais pas assez pour dire si oui ou non, il était digne de la confiance de mon amie. En fait, Maria était la seule personne qui pourrait le décider. Après un moment de silence à analyser la situation, la jeune styliste décida finalement de ne rien dire à Dustin ; pas avant que les choses ne deviennent moins ambigües. Je ne rajoutai rien, la laissant donc faire ce qu’elle lui semblait être le bon choix. –« La meilleure façon de me remercier, c’est de rester comme tu es. Souriante et joyeuse. Ne change jamais, même pas face aux démons de ton passé.» Dis-je sérieuse avant de continuer sur le ton de l’ironie, cette fois-ci.-« Sinon, tu peux toujours m’offrir des cupcakes ! » Gloussai-je alors que d’un pas nonchalant, je pris le chemin de la salle de bains. Une douche relaxante, c’était exactement ce qu’il me fallait après une journée émouvante, remplie d’émotions et de désespoir. –« On en parlera demain ! De rien ma belle, je t’adore aussi. Bonne nuit et essaye de te reposer un peu. Je t’embrasse ! »Articulai-je avant de raccrocher.